Si l'idée d'intégrer de manière transparente les services financiers dans la vie quotidienne des consommateurs fait progressivement son chemin, sa déclinaison pour les entreprises n'a pas encore été envisagée. La nouvelle offre « Business in One » que vient d'annoncer l'australienne NAB pourrait en esquisser une première incarnation…
Partant du constat que les PME sont de plus en plus souvent équipées de solutions informatiques pour gérer leur activité – logiciels de compatibilité et finance, de gestion de la relation client (CRM), outils analytiques et décisionnels… – dont l'hétérogénéité et l'hermétisme finissent par compliquer leurs tâches plutôt que de les simplifier, « Business in One » leur propose une plate-forme universelle, intégrant toutes ces composantes (en arrière plan) et leur offrant une interface unique et facile d'accès.
La solution – qui est, en réalité, fournie par la startup locale Maestrano – est ainsi capable de fédérer une impressionnante liste de services (avec des noms connus, tels que Xero, SugarCRM, Pentaho BI, Magento…, parmi des dizaines d'autres), pour lesquels les clients peuvent connecter leur compte existant ou en créer un nouveau, en quelques instants. Dès cette configuration terminée, les données pertinentes (par exemple les informations sur les clients) sont automatiquement synchronisées entre les différents outils et toutes leurs fonctions peuvent être pilotées depuis un tableau de bord unifié.
Du côté de la banque, l'initiative est, pour l'instant, de nature expérimentale : seules 200 PME ont été invitées à participer à la première vague de test, les autres entrepreneurs se voyant proposer d'exprimer leur intérêt en vue de faire partie d'une future extension. Il s'agit d'ailleurs d'une émanation directe des NAB Labs, la structure d'innovation de l'établissement, dont elle exprime parfaitement les missions de transformer la culture interne et de recentrer la vision stratégique sur les besoins des clients.
Partant du constat que les PME sont de plus en plus souvent équipées de solutions informatiques pour gérer leur activité – logiciels de compatibilité et finance, de gestion de la relation client (CRM), outils analytiques et décisionnels… – dont l'hétérogénéité et l'hermétisme finissent par compliquer leurs tâches plutôt que de les simplifier, « Business in One » leur propose une plate-forme universelle, intégrant toutes ces composantes (en arrière plan) et leur offrant une interface unique et facile d'accès.
La solution – qui est, en réalité, fournie par la startup locale Maestrano – est ainsi capable de fédérer une impressionnante liste de services (avec des noms connus, tels que Xero, SugarCRM, Pentaho BI, Magento…, parmi des dizaines d'autres), pour lesquels les clients peuvent connecter leur compte existant ou en créer un nouveau, en quelques instants. Dès cette configuration terminée, les données pertinentes (par exemple les informations sur les clients) sont automatiquement synchronisées entre les différents outils et toutes leurs fonctions peuvent être pilotées depuis un tableau de bord unifié.
Du côté de la banque, l'initiative est, pour l'instant, de nature expérimentale : seules 200 PME ont été invitées à participer à la première vague de test, les autres entrepreneurs se voyant proposer d'exprimer leur intérêt en vue de faire partie d'une future extension. Il s'agit d'ailleurs d'une émanation directe des NAB Labs, la structure d'innovation de l'établissement, dont elle exprime parfaitement les missions de transformer la culture interne et de recentrer la vision stratégique sur les besoins des clients.
En l'état, le principal bénéfice de la déclinaison « Business in One » par rapport à l'offre originale de Maestrano est, outre le « sceau de confiance » implicitement apporté aux utilisateurs par l'implication de leur banque, la gratuité du service (seuls les logiciels connectés à la plate-forme restent à la charge des entreprises). Il faut espérer que ce n'est là qu'une première étape, car il est aisé de percevoir la valeur considérable que pourrait représenter l'intégration des services financiers au cœur de la plate-forme (dont il n'est, hélas, pas question dans la communication actuelle).
Imaginez donc un futur tableau de bord, à partir duquel l'entrepreneur pourrait réellement piloter l'ensemble de son activité – depuis les approvisionnements jusqu'aux ventes, en passant par les équipements et les ressources humaines – et dans lequel les moyens de paiement, la gestion de trésorerie, les transferts internationaux, les crédits… sont combinés en toute transparence, au fil des exigences de la production et de la distribution, des projets de création de nouveaux produits ou d'ouverture de nouveaux marchés…
En perspective, ce que dessinerait alors « Business in One » est la banque « invisible » pour les entreprises, qui – à l'instar de son équivalente à destination des particuliers – met « automatiquement » à la disposition de ses clients les produits et services dont ils ont besoin, au moment opportun, sous les meilleures conditions…
Imaginez donc un futur tableau de bord, à partir duquel l'entrepreneur pourrait réellement piloter l'ensemble de son activité – depuis les approvisionnements jusqu'aux ventes, en passant par les équipements et les ressources humaines – et dans lequel les moyens de paiement, la gestion de trésorerie, les transferts internationaux, les crédits… sont combinés en toute transparence, au fil des exigences de la production et de la distribution, des projets de création de nouveaux produits ou d'ouverture de nouveaux marchés…
En perspective, ce que dessinerait alors « Business in One » est la banque « invisible » pour les entreprises, qui – à l'instar de son équivalente à destination des particuliers – met « automatiquement » à la disposition de ses clients les produits et services dont ils ont besoin, au moment opportun, sous les meilleures conditions…
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