À la convergence de deux grandes tendances de la médecine du XXIème siècle, la téléconsultation et l'intelligence artificielle, une jeune pousse, Remedy, apporte une solution concrète d'accès aux soins aux américains dépourvus de couverture sociale, exploitant les technologies modernes afin d'éliminer les sources d'inefficacité habituelles.
L'idée de Remedy est née de l'expérience personnelle de son fondateur, William Jack, dont le diagnostic de son épilepsie a tardé pendant plusieurs années par manque de partage et de corrélation des informations qu'il fournissait sur ses symptômes. En conséquence, le principe de la plate-forme consiste à accumuler un maximum de données sur la santé du patient, de manière à mettre à la disposition du médecin traitant tous les éléments dont il a besoin pour travailler dans les meilleures conditions.
D'un point de vue pratique, tout fonctionne à travers une application mobile, aussi bien pour le patient que pour le praticien. Celle-ci est principalement basée sur un mode d'interaction par tchat, qui, outre les échanges avec le médecin humain, permet également à l'assistant virtuel Remy – affublé d'un qualificatif d'intelligence artificielle un peu exagéré pour un système d'analyse de données – de capter et enregistrer les informations transmises et, le cas échéant, de prodiguer des recommandations.
À tout moment, pour un prix unique de 30 dollars, le patient peut demander une consultation avec son médecin attitré (choisi lors de la phase d'enrôlement), par l'intermédiaire de messages textuels. Avant la session, il devra cependant enregistrer une vidéo dans laquelle il décrit ses symptômes et filmera les parties du corps qui, selon Remy, seront utiles au diagnostic. Après le rendez-vous, l'application continuera à suivre l'utilisateur : rappel des prescriptions, collecte d'informations (transmises au docteur)…
L'idée de Remedy est née de l'expérience personnelle de son fondateur, William Jack, dont le diagnostic de son épilepsie a tardé pendant plusieurs années par manque de partage et de corrélation des informations qu'il fournissait sur ses symptômes. En conséquence, le principe de la plate-forme consiste à accumuler un maximum de données sur la santé du patient, de manière à mettre à la disposition du médecin traitant tous les éléments dont il a besoin pour travailler dans les meilleures conditions.
D'un point de vue pratique, tout fonctionne à travers une application mobile, aussi bien pour le patient que pour le praticien. Celle-ci est principalement basée sur un mode d'interaction par tchat, qui, outre les échanges avec le médecin humain, permet également à l'assistant virtuel Remy – affublé d'un qualificatif d'intelligence artificielle un peu exagéré pour un système d'analyse de données – de capter et enregistrer les informations transmises et, le cas échéant, de prodiguer des recommandations.
À tout moment, pour un prix unique de 30 dollars, le patient peut demander une consultation avec son médecin attitré (choisi lors de la phase d'enrôlement), par l'intermédiaire de messages textuels. Avant la session, il devra cependant enregistrer une vidéo dans laquelle il décrit ses symptômes et filmera les parties du corps qui, selon Remy, seront utiles au diagnostic. Après le rendez-vous, l'application continuera à suivre l'utilisateur : rappel des prescriptions, collecte d'informations (transmises au docteur)…
Même s'il peut intervenir « activement » dans la relation avec le patient, le rôle de l'assistant virtuel dans la solution de Remedy est avant tout d'accompagner le médecin dans l'exercice de sa profession, en essayant d'en supprimer toutes les tâches non productives (collecte des données, analyse du dossier de santé, préparation des ordonnances…). En arrière-plan, l'ambition de la startup est à la fois de permettre au praticien de se concentrer sur le cœur de son métier et, en automatisant les autres activités, de réduire les coûts sans compromis sur la qualité des soins.
En contrepoint des scénarios inquiétants de déshumanisation des relations – médicales ou autres – prises en charge par des robots dotés d'intelligence artificielle, Remedy propose une vision plus optimiste, basée sur une utilisation raisonnée des technologies, en complément d'une expertise et d'un contact humains qui restent particulièrement importants dans le secteur de la santé. À tel point que son fondateur n'hésite pas à envisager, à terme, l'extension de son modèle à des consultations en face à face, en cabinet, au moins pour les cas où le diagnostic l'exigerait.
En contrepoint des scénarios inquiétants de déshumanisation des relations – médicales ou autres – prises en charge par des robots dotés d'intelligence artificielle, Remedy propose une vision plus optimiste, basée sur une utilisation raisonnée des technologies, en complément d'une expertise et d'un contact humains qui restent particulièrement importants dans le secteur de la santé. À tel point que son fondateur n'hésite pas à envisager, à terme, l'extension de son modèle à des consultations en face à face, en cabinet, au moins pour les cas où le diagnostic l'exigerait.
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