Quand Shine annonce sa nouvelle offre Premium, on peut compter sur son approche centrée sur les besoins des entrepreneurs pour intégrer les services que ces derniers considèrent réellement importants dans leur vie quotidienne. C'est la raison pour laquelle les assurances incluses sont résolument différentes des classiques du secteur.
Dans la plupart des banques, traditionnelles ou non, les garanties qui accompagnent les cartes de paiement des clients professionnels sont souvent identiques à celle destinées au grand public : elles couvrent retards d'avion, pertes de bagage, frais médicaux et rapatriement en voyage… Non seulement sont-elles totalement décalées par rapport à l'activité des porteurs (peu nombreux à être en déplacement fréquent) mais, de plus, elles sont redondantes avec les cartes personnelles qu'ils peuvent aussi utiliser.
Avant de se lancer, Shine a enquêté auprès de ses utilisateurs existants et a validé sans ambiguïté cette impression d'inutilité : interrogés sur leurs préférences parmi une liste de produits dont ils aimeraient disposer dans une version haut de gamme de leur banque, les assurances concernant le voyage n'arrivent qu'en cinquième position (avec à peine un quart des votes). Petit détail complémentaire, les services de conciergerie, généralement réservés à l'élite suprême, n'attirent même pas 10% des répondants.
Par contraste, les attentes exprimées touchent à de vraies problématiques rencontrées par les responsables d'entreprises et, surtout, par les micro-entrepreneurs que vise en priorité la néo-banque : l'extension de garantie des achats importants, une indemnisation forfaitaire en cas d'hospitalisation (indépendamment de la protection santé) et une assistance juridique. Seule la réparation de téléphone en cas de bris d'écran (un outil de travail certes important), figurant également au top 4, paraît un peu banale.
Dans la plupart des banques, traditionnelles ou non, les garanties qui accompagnent les cartes de paiement des clients professionnels sont souvent identiques à celle destinées au grand public : elles couvrent retards d'avion, pertes de bagage, frais médicaux et rapatriement en voyage… Non seulement sont-elles totalement décalées par rapport à l'activité des porteurs (peu nombreux à être en déplacement fréquent) mais, de plus, elles sont redondantes avec les cartes personnelles qu'ils peuvent aussi utiliser.
Avant de se lancer, Shine a enquêté auprès de ses utilisateurs existants et a validé sans ambiguïté cette impression d'inutilité : interrogés sur leurs préférences parmi une liste de produits dont ils aimeraient disposer dans une version haut de gamme de leur banque, les assurances concernant le voyage n'arrivent qu'en cinquième position (avec à peine un quart des votes). Petit détail complémentaire, les services de conciergerie, généralement réservés à l'élite suprême, n'attirent même pas 10% des répondants.
Par contraste, les attentes exprimées touchent à de vraies problématiques rencontrées par les responsables d'entreprises et, surtout, par les micro-entrepreneurs que vise en priorité la néo-banque : l'extension de garantie des achats importants, une indemnisation forfaitaire en cas d'hospitalisation (indépendamment de la protection santé) et une assistance juridique. Seule la réparation de téléphone en cas de bris d'écran (un outil de travail certes important), figurant également au top 4, paraît un peu banale.
C'est donc sur ces quatre axes que Shine a bâti sa solution, en faisant en sorte qu'elle soit la plus simple et la plus transparente possible. Les garanties entrent ainsi en vigueur le jour de la souscription, sans délai de carence, et les exclusions sont réduites au strict minimum. Par exemple, la couverture contre les accidents exigeant une hospitalisation (avec dédommagement fixe de 100 euros par jour, jusqu'à 50 jours), activée immédiatement, est applicable tant dans un contexte personnel que professionnel.
Face aux offres concurrentes, conçues par mimétisme (avez-vous noté combien elles se ressemblent toutes ?), sans réfléchir, la méthode de Shine (d)étonne alors qu'elle devrait être la norme. N'est-il pas implacablement logique, avant de proposer une assurance, de s'interroger – et les interroger – sur ce que craignent le plus les clients (en l'occurrence : la perte de revenus en cas d'accident, la panne de l'outil de travail et les tracas juridiques et administratifs) et, par voie de conséquence, les protections qu'ils désireraient ?
Face aux offres concurrentes, conçues par mimétisme (avez-vous noté combien elles se ressemblent toutes ?), sans réfléchir, la méthode de Shine (d)étonne alors qu'elle devrait être la norme. N'est-il pas implacablement logique, avant de proposer une assurance, de s'interroger – et les interroger – sur ce que craignent le plus les clients (en l'occurrence : la perte de revenus en cas d'accident, la panne de l'outil de travail et les tracas juridiques et administratifs) et, par voie de conséquence, les protections qu'ils désireraient ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Afin de lutter contre le spam, les commentaires ne sont ouverts qu'aux personnes identifiées et sont soumis à modération (je suis sincèrement désolé pour le désagrément causé…)