Face aux dangers de l'utilisation du smartphone au volant (pour l'envoi de SMS, la consultation des réseaux sociaux…), il n'existe probablement pas de solution idéale. En attendant l'éclair de génie, au-delà de la seule prévention, certains proposaient déjà de verrouiller l'accès au téléphone, voici maintenant une nouvelle idée : le jeu social.
Le concept de base de l'application mobile "RoadWars" est relativement simple : activée pendant les trajets en voiture, elle analyse en permanence le comportement du conducteur afin d'identifier les risques qu'il prend au volant et transforme finalement les résultats en une compétition ludique (et addictive, si elle atteint son but) entre amis.
Plus précisément, pour remplir sa mission, le logiciel évalue les accélérations, les freinages et la prise de virage, vérifie le respect des limitations de vitesse et, critère particulièrement important, contrôle l'utilisation du smartphone pendant la conduite. L'ensemble détermine un score de prudence, composé de points pour les séquences de parcours effectuées en toute sécurité et de pénalités attribuées pour toute action dangereuse détectée.
Sur chaque trajet enregistré, la plate-forme va déterminer un "propriétaire" (en l'occurrence, l'utilisateur qui a eu le comportement le plus sûr), un peu à la manière des "mayors" de Foursquare. Lorsqu'ils ne sont plus au volant, les joueurs sont constamment informés des performances de leurs amis (via Facebook) et ils peuvent alors les défier sur les parcours qu'ils ont conquis, à travers différents mécanismes ludiques.
Le concept de base de l'application mobile "RoadWars" est relativement simple : activée pendant les trajets en voiture, elle analyse en permanence le comportement du conducteur afin d'identifier les risques qu'il prend au volant et transforme finalement les résultats en une compétition ludique (et addictive, si elle atteint son but) entre amis.
Plus précisément, pour remplir sa mission, le logiciel évalue les accélérations, les freinages et la prise de virage, vérifie le respect des limitations de vitesse et, critère particulièrement important, contrôle l'utilisation du smartphone pendant la conduite. L'ensemble détermine un score de prudence, composé de points pour les séquences de parcours effectuées en toute sécurité et de pénalités attribuées pour toute action dangereuse détectée.
Sur chaque trajet enregistré, la plate-forme va déterminer un "propriétaire" (en l'occurrence, l'utilisateur qui a eu le comportement le plus sûr), un peu à la manière des "mayors" de Foursquare. Lorsqu'ils ne sont plus au volant, les joueurs sont constamment informés des performances de leurs amis (via Facebook) et ils peuvent alors les défier sur les parcours qu'ils ont conquis, à travers différents mécanismes ludiques.
L'objectif de RoadWars est d'utiliser les capacités des téléphones modernes pour faire prendre conscience aux automobilistes des mauvaises habitudes qu'ils développent au volant. Et si le choix d'en faire un jeu émane d'abord de la conviction qu'une telle approche est plus attractive et plus susceptible de produire des résultats positifs que toute autre méthode, il a aussi l'avantage de rendre moins inquiétante la capture d'informations sur la conduite.
Dans une parfaite logique de startup (sans surprise, puisque son fondateur est un entrepreneur en série), la première version de l'application, quoique tout à fait utilisable, reste largement perfectible et ses utilisateurs sont appelés à donner leur avis et émettre leurs suggestions pour l'améliorer. Avec le temps, peut-être intéressera-t-elle un jour les organisations de sécurité routière ou bien, deuxième cible de choix, les compagnies d'assurance qui souhaiteraient faire baisser les risques d'accident de leurs clients ?
Dans une parfaite logique de startup (sans surprise, puisque son fondateur est un entrepreneur en série), la première version de l'application, quoique tout à fait utilisable, reste largement perfectible et ses utilisateurs sont appelés à donner leur avis et émettre leurs suggestions pour l'améliorer. Avec le temps, peut-être intéressera-t-elle un jour les organisations de sécurité routière ou bien, deuxième cible de choix, les compagnies d'assurance qui souhaiteraient faire baisser les risques d'accident de leurs clients ?
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