Bien que BforBank soit déjà une banque 100% en ligne, la filiale des caisses régionales du Crédit Agricole n'en ressent pas moins le besoin de rester au contact des évolutions permanentes du monde numérique qui nous entoure. Pour ce faire, elle a choisi de faire appel à ceux qui sont – en principe – les premiers intéressés : les jeunes.
Plus précisément, ce sont des étudiants qui ont été mis à contribution, à travers un défi lancé sur la plate-forme de co-innovation spécialisée Studyka. Le thème proposé ? En droite ligne du slogan commercial de BforBank, « mon banquier c'est moi », il s'exprime tout simplement : « mets-toi à la place de ton banquier et révolutionne l’expérience des banques en ligne ! ». Et, conformément au positionnement commercial de l'établissement, la cible spécifique des clients aisés est évidemment à privilégier.
En dehors de ce cadrage général, toute liberté est laissée aux participants d'imaginer de nouveaux produits et services ou de proposer des moyens de simplifier l'expérience utilisateur, sur le web et sur mobile mais aussi – pourquoi pas ? – dans les contacts téléphoniques ou l'envoi de courriers… Les seules règles sont de comprendre les problématiques rencontrées aujourd'hui par les clients et de leur apporter des solutions adaptées, innovantes… et réalistes. Enfin, pour espérer convaincre le jury, il faut savoir démontrer la valeur délivrée à la fois aux clients et à BforBank.
Quelques pistes de réflexion, offertes aux candidats pour leur permettre de mieux appréhender le sujet, nous donnent aussi l'occasion de découvrir les principales préoccupations de la banque en ligne : accompagnement des clients au quotidien, amélioration de la proximité, facilitation de l'accès aux produits et services et des rebonds commerciaux, personnalisation de l'expérience… Rien ici d'exceptionnel mais la confirmation de quelques tendances universelles.
En dehors de ce cadrage général, toute liberté est laissée aux participants d'imaginer de nouveaux produits et services ou de proposer des moyens de simplifier l'expérience utilisateur, sur le web et sur mobile mais aussi – pourquoi pas ? – dans les contacts téléphoniques ou l'envoi de courriers… Les seules règles sont de comprendre les problématiques rencontrées aujourd'hui par les clients et de leur apporter des solutions adaptées, innovantes… et réalistes. Enfin, pour espérer convaincre le jury, il faut savoir démontrer la valeur délivrée à la fois aux clients et à BforBank.
Quelques pistes de réflexion, offertes aux candidats pour leur permettre de mieux appréhender le sujet, nous donnent aussi l'occasion de découvrir les principales préoccupations de la banque en ligne : accompagnement des clients au quotidien, amélioration de la proximité, facilitation de l'accès aux produits et services et des rebonds commerciaux, personnalisation de l'expérience… Rien ici d'exceptionnel mais la confirmation de quelques tendances universelles.
Le défi a commencé fin octobre 2013 et les étudiants inscrits, rassemblés en équipes pluridisciplinaires de 2 ou 3, avaient 3 mois pour, d'abord, ébaucher leur idée (dans une étape de pré-sélection), puis la développer dans un dossier complet (comportant les CV des participants). Par la suite, 5 finalistes ont été retenus pour présenter leur concept devant le comité de direction de BforBank, afin que celui-ci établisse, enfin, un classement et remette les prix (symboliques) mis en jeu, il y a quelques jours.
Le principe de la compétition rappelle l'initiative « Bank of the Future » organisée en Belgique à l'automne dernier, mais, cette fois, les résultats restent confidentiels et seuls de très courts résumés des 5 idées récompensées sont exposés sur le site de Studyka. On n'en saura guère plus que les grands principes affichés – simplicité, autonomie, personnalisation (particulièrement populaire)… – hormis un concept de « club privé » pour les meilleurs clients ou encore une vision du « client architecte de sa banque ».
En l'absence de précisions sur la qualité des propositions recueillies, il est difficile de déterminer si l'opération est un succès du point de vue du potentiel d'innovation qui en ressort (pour ma part, je suis convaincu de la valeur positive de la démarche). En revanche, l'autre objectif affiché par BforBank – d'offrir une opportunité unique aux finalistes de se mettre en valeur devant le management de la banque – a certainement bien profité à la douzaine d'étudiants concernés.
Le principe de la compétition rappelle l'initiative « Bank of the Future » organisée en Belgique à l'automne dernier, mais, cette fois, les résultats restent confidentiels et seuls de très courts résumés des 5 idées récompensées sont exposés sur le site de Studyka. On n'en saura guère plus que les grands principes affichés – simplicité, autonomie, personnalisation (particulièrement populaire)… – hormis un concept de « club privé » pour les meilleurs clients ou encore une vision du « client architecte de sa banque ».
En l'absence de précisions sur la qualité des propositions recueillies, il est difficile de déterminer si l'opération est un succès du point de vue du potentiel d'innovation qui en ressort (pour ma part, je suis convaincu de la valeur positive de la démarche). En revanche, l'autre objectif affiché par BforBank – d'offrir une opportunité unique aux finalistes de se mettre en valeur devant le management de la banque – a certainement bien profité à la douzaine d'étudiants concernés.
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