D'abord mis en œuvre à des fins militaires, puis déployés pour le tournage de scènes de cinéma spectaculaires, avant de devenir accessibles au grand public, à titre de loisir plus ou moins innocent, les drones intéressent aussi les compagnies d'assurance. AXA, parmi d'autres, en explore actuellement quelques opportunités…
Toutes les dimensions d'activité peuvent être concernés par ces petits engins volants téléguidés ou, parfois, autonomes : prévention, protection, secours et indemnisation. Avec leur capacité à atteindre rapidement des zones inaccessibles ou dangereuses, ils permettent, par exemple, à des pompiers des Bouches-du-Rhône de surveiller activement les risques d'incendie ou d'inondation sur de vastes étendues, afin d'éviter la survenue ou la propagation de sinistres aux conséquences souvent dramatiques.
Leur rôle est tout aussi important lorsqu'il s'agit de faire face à une urgence. La recherche de randonneurs égarés ou de personnes ensevelies sous une avalanche peut alors devenir un acte banal en comparaison des moyens qu'elle exigeait auparavant (imaginez le coût de sortie d'un seul hélicoptère…). Il en ira de même pour la surveillance du lieu ou s'est produit un accident routier, qui peut être sécurisé presque immédiatement et vers lequel les secours seront guidés rapidement.
Ce ne sont encore que des projets, dont certains sont résolument futuristes, mais des chercheurs envisagent d'aller beaucoup plus loin, avec des « drones ambulances », qui seraient en mesure, selon les scénarios, d'amener en quelques minutes une trousse de premiers soins (un défibrillateur…) à l'endroit où une personne fait un malaise, voire de prendre en charge un blessé n'importe où (dans un appareil de la taille d'une voiture) et le transporter « automatiquement » vers l'hôpital le plus proche.
Toutes les dimensions d'activité peuvent être concernés par ces petits engins volants téléguidés ou, parfois, autonomes : prévention, protection, secours et indemnisation. Avec leur capacité à atteindre rapidement des zones inaccessibles ou dangereuses, ils permettent, par exemple, à des pompiers des Bouches-du-Rhône de surveiller activement les risques d'incendie ou d'inondation sur de vastes étendues, afin d'éviter la survenue ou la propagation de sinistres aux conséquences souvent dramatiques.
Leur rôle est tout aussi important lorsqu'il s'agit de faire face à une urgence. La recherche de randonneurs égarés ou de personnes ensevelies sous une avalanche peut alors devenir un acte banal en comparaison des moyens qu'elle exigeait auparavant (imaginez le coût de sortie d'un seul hélicoptère…). Il en ira de même pour la surveillance du lieu ou s'est produit un accident routier, qui peut être sécurisé presque immédiatement et vers lequel les secours seront guidés rapidement.
Ce ne sont encore que des projets, dont certains sont résolument futuristes, mais des chercheurs envisagent d'aller beaucoup plus loin, avec des « drones ambulances », qui seraient en mesure, selon les scénarios, d'amener en quelques minutes une trousse de premiers soins (un défibrillateur…) à l'endroit où une personne fait un malaise, voire de prendre en charge un blessé n'importe où (dans un appareil de la taille d'une voiture) et le transporter « automatiquement » vers l'hôpital le plus proche.
En attendant la concrétisation de cette vision, AXA Belgique s'apprête à utiliser des drones pour améliorer l'efficacité de sa gestion de sinistres. Comme dans l'expérience menée il y a quelques mois par sa concurrente Allianz, ils seraient mis à contribution lors de la réalisation d'expertises, à la suite d'un incendie, d'un effondrement, d'un arbre tombé sur une toiture, de la perte d'une récolte… à chaque fois que le constat des dégâts est rendu difficile, notamment par leur étendue ou par l'inaccessibilité du site.
La généralisation de ce qui n'est aujourd'hui qu'une expérimentation est suspendue – en Belgique, en tous cas – à la mise en place d'une réglementation (imminente) sur l'usage des drones. Et il restera ensuite à établir un cadre déontologique garantissant le respect de la vie privée des assurés et des autres personnes susceptibles d'être impactées (les voisins, par exemple, dans le cas de l'inspection d'une résidence). Mais AXA est convaincue que des drones entreront dans son arsenal, à court terme.
La généralisation de ce qui n'est aujourd'hui qu'une expérimentation est suspendue – en Belgique, en tous cas – à la mise en place d'une réglementation (imminente) sur l'usage des drones. Et il restera ensuite à établir un cadre déontologique garantissant le respect de la vie privée des assurés et des autres personnes susceptibles d'être impactées (les voisins, par exemple, dans le cas de l'inspection d'une résidence). Mais AXA est convaincue que des drones entreront dans son arsenal, à court terme.
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