Jusqu'à maintenant, les tentatives d'intégration de services de paiement dans les réseaux sociaux ne sont jamais parvenues à enflammer les internautes. Une jeune pousse madrilène, PetyCash, imagine de renverser l'approche pour réussir : elle crée donc sa propre plate-forme, dans laquelle elle intègre nativement les échanges d'argent.
Tendance oblige, la nouvelle venue est une application de messagerie instantanée, exclusivement sur mobile, naturellement. À l'instar de WhatsApp ou, peut-être plus encore, Telegram, elle permet à ses utilisateurs de partager en toute sécurité des messages, des photographies, des commentaires… et de petites sommes d'argent (jusqu'à 50 euros) avec leurs amis, leur famille ou même des inconnus (à terme, il est aussi envisagé de pouvoir régler des achats auprès de commerçants).
Selon les informations disponibles actuellement (les inscriptions n'étant pas encore ouvertes), il suffirait de fournir son nom et son numéro de téléphone pour créer un compte. En conséquence, il est facile de déduire que, au moins dans un premier temps, le système ne prendra pas en charge les transferts d'argent effectifs : il devrait plutôt s'agir d'un simple mécanisme de registre des dettes et créances des participants, que ces derniers devront, le cas échéant, solder directement entre eux.
Tendance oblige, la nouvelle venue est une application de messagerie instantanée, exclusivement sur mobile, naturellement. À l'instar de WhatsApp ou, peut-être plus encore, Telegram, elle permet à ses utilisateurs de partager en toute sécurité des messages, des photographies, des commentaires… et de petites sommes d'argent (jusqu'à 50 euros) avec leurs amis, leur famille ou même des inconnus (à terme, il est aussi envisagé de pouvoir régler des achats auprès de commerçants).
Selon les informations disponibles actuellement (les inscriptions n'étant pas encore ouvertes), il suffirait de fournir son nom et son numéro de téléphone pour créer un compte. En conséquence, il est facile de déduire que, au moins dans un premier temps, le système ne prendra pas en charge les transferts d'argent effectifs : il devrait plutôt s'agir d'un simple mécanisme de registre des dettes et créances des participants, que ces derniers devront, le cas échéant, solder directement entre eux.
Bien que ce mode de fonctionnement puisse paraître limité, il présente tout de même l'immense avantage de simplifier au maximum l'enrôlement. En arrière-plan, la logique pourrait être de commencer par familiariser les utilisateurs avec les échanges d'argent entre connaissances, pour les amener, progressivement, vers un véritable instrument de paiement. Ils seraient alors incités à lier un compte ou une carte bancaire à leur profil, de manière à profiter pleinement de toutes les options disponibles.
La démarche des fondateurs de PetyCash constitue une application littérale du principe d'intégration des services financiers au cœur de la vie quotidienne des consommateurs. En l'occurrence, quoi de plus normal que de rendre possible des petits paiements entre amis à l'occasion d'une discussion (par exemple à propos d'un cadeau commun à faire à l'un d'eux) ? Certes, ils placent la barre très haut en empiétant sur les plates-bandes des plates-formes sociales existantes, mais l'enjeu est à la mesure du défi !
La démarche des fondateurs de PetyCash constitue une application littérale du principe d'intégration des services financiers au cœur de la vie quotidienne des consommateurs. En l'occurrence, quoi de plus normal que de rendre possible des petits paiements entre amis à l'occasion d'une discussion (par exemple à propos d'un cadeau commun à faire à l'un d'eux) ? Certes, ils placent la barre très haut en empiétant sur les plates-bandes des plates-formes sociales existantes, mais l'enjeu est à la mesure du défi !
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