Recourir aux solutions cloud de Google (ou autre) pour étendre rapidement ses capacités informatiques, à moindre coût, l'idée est aujourd'hui banale pour beaucoup de sociétés. En revanche, faire appel aux ingénieurs du géant du web afin de développer de nouvelles applications autour des « big data », voilà qui est plus original.
C'est pourtant bien, en son essence, l'approche qu'a choisie Lloyds Banking Group, en combinant l'adoption des outils de Google – Big Query, Data Flow, Big Table… – avec la mise en place d'une collaboration étroite entre les deux entreprises en vue d'explorer les opportunités de l'analyse de données comportementales (non personnelles). L'objectif visé à travers cette opération est parfaitement clair : profiter des compétences d'un spécialiste pour mieux appréhender les évolutions des usages des consommateurs.
Les premiers résultats obtenus semblent confirmer les bénéfices du partenariat, entre un petit test initial – qui a permis à la banque d'analyser l'équivalent d'une année de données de ses sites web en moins d'une minute – et un pilote plus opérationnel, d'une durée de 6 semaines, ayant abouti à une réduction de 96 heures à 30 minutes d'un traitement capable d'identifier les attentes des clients et rendant ainsi envisageable d'y réagir en temps réel, en proposant des produits et services plus pertinents.
Pour Lloyds, comme pour ses consœurs dans le monde entier, l'analyse de données représente simultanément un enjeu et un défi considérables. Afin de relever ce dernier, la banque a mis en place une organisation (« digitale ») dédiée, dont la stratégie comprend d'emblée un principe de collaboration avec toutes sortes de partenaires (industriels et académiques, notamment). L'ambition ultime est de développer la connaissance et les compétences de l'entreprise, de manière à pouvoir produire rapidement des prototypes applicatifs capitalisant sur les dernières technologies disponibles.
Naturellement, dans un tel contexte, la participation de Google à l'initiative constitue un accélérateur incomparable, même si ses ingénieurs ne sont pas particulièrement familiers des problématiques spécifiques du secteur financier (dont la découverte justifie peut-être leur engagement dans la démarche). Selon les mots de l'un deux, Lloyds est en train de prendre 18 mois d'avance sur ses concurrentes en matière d'exploitation des données. Dans une ère où tout s'accélère, autant du côté des réponses aux attentes des clients que de la création de nouvelles solutions, l'avantage est colossal !
C'est pourtant bien, en son essence, l'approche qu'a choisie Lloyds Banking Group, en combinant l'adoption des outils de Google – Big Query, Data Flow, Big Table… – avec la mise en place d'une collaboration étroite entre les deux entreprises en vue d'explorer les opportunités de l'analyse de données comportementales (non personnelles). L'objectif visé à travers cette opération est parfaitement clair : profiter des compétences d'un spécialiste pour mieux appréhender les évolutions des usages des consommateurs.
Les premiers résultats obtenus semblent confirmer les bénéfices du partenariat, entre un petit test initial – qui a permis à la banque d'analyser l'équivalent d'une année de données de ses sites web en moins d'une minute – et un pilote plus opérationnel, d'une durée de 6 semaines, ayant abouti à une réduction de 96 heures à 30 minutes d'un traitement capable d'identifier les attentes des clients et rendant ainsi envisageable d'y réagir en temps réel, en proposant des produits et services plus pertinents.
Pour Lloyds, comme pour ses consœurs dans le monde entier, l'analyse de données représente simultanément un enjeu et un défi considérables. Afin de relever ce dernier, la banque a mis en place une organisation (« digitale ») dédiée, dont la stratégie comprend d'emblée un principe de collaboration avec toutes sortes de partenaires (industriels et académiques, notamment). L'ambition ultime est de développer la connaissance et les compétences de l'entreprise, de manière à pouvoir produire rapidement des prototypes applicatifs capitalisant sur les dernières technologies disponibles.
Naturellement, dans un tel contexte, la participation de Google à l'initiative constitue un accélérateur incomparable, même si ses ingénieurs ne sont pas particulièrement familiers des problématiques spécifiques du secteur financier (dont la découverte justifie peut-être leur engagement dans la démarche). Selon les mots de l'un deux, Lloyds est en train de prendre 18 mois d'avance sur ses concurrentes en matière d'exploitation des données. Dans une ère où tout s'accélère, autant du côté des réponses aux attentes des clients que de la création de nouvelles solutions, l'avantage est colossal !
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