Dans la course au développement, les TPE ont tendance à cumuler les handicaps, entre manque de temps et de compétences pour gérer leurs finances et désintérêt, voire défiance, des banques… Heureusement, une nouvelle génération de startups se penche désormais sérieusement sur leurs besoins spécifiques. Agicap est l'une d'elles.
Est-il encore nécessaire de le rappeler ? Les difficultés de trésorerie représentent aujourd'hui la principale cause de défaillance des très petites entreprises en France. Au-delà du simple constat, les raisons sous-jacentes sont également connues. D'une part, les responsables de ces structures sont insuffisamment formés aux arcanes de la comptabilité, peu enclins à « perdre » du temps sur autre chose que leur cœur d'activité et dans l'impossibilité matérielle (pécuniaire) de s'offrir les conseils d'un spécialiste.
D'autre part, les banques, qui devraient être les premiers soutiens des TPE, ont toujours autant de réticences à remplir ce rôle (comme le soulignait il y a peu un rapport de la Banque de France). En effet, leur prudence structurelle ne les incite pas à faire confiance à des organisations qu'elles connaissent mal, avec leur historique généralement court. Facteur aggravant, l'urgence qui caractérise fréquemment les demandes des TPE est incompatible avec les délais de prise de décision des grandes institutions financières.
Pour répondre à ce double défi, Agicap propose donc aux entrepreneurs une solution simple d'utilisation, destinée à leur donner une indispensable visibilité sur leur situation, sans avoir à y consacrer plus d'efforts que nécessaire. Totalement exempte de jargon, mise à disposition sous la forme d'un service en ligne, elle demande simplement, pour remplir son office, de fournir les objectifs visés, puis de capter les flux, soit manuellement, soit par connexion directe à l'outil de facturation employé et/ou aux comptes bancaires.
Est-il encore nécessaire de le rappeler ? Les difficultés de trésorerie représentent aujourd'hui la principale cause de défaillance des très petites entreprises en France. Au-delà du simple constat, les raisons sous-jacentes sont également connues. D'une part, les responsables de ces structures sont insuffisamment formés aux arcanes de la comptabilité, peu enclins à « perdre » du temps sur autre chose que leur cœur d'activité et dans l'impossibilité matérielle (pécuniaire) de s'offrir les conseils d'un spécialiste.
D'autre part, les banques, qui devraient être les premiers soutiens des TPE, ont toujours autant de réticences à remplir ce rôle (comme le soulignait il y a peu un rapport de la Banque de France). En effet, leur prudence structurelle ne les incite pas à faire confiance à des organisations qu'elles connaissent mal, avec leur historique généralement court. Facteur aggravant, l'urgence qui caractérise fréquemment les demandes des TPE est incompatible avec les délais de prise de décision des grandes institutions financières.
Pour répondre à ce double défi, Agicap propose donc aux entrepreneurs une solution simple d'utilisation, destinée à leur donner une indispensable visibilité sur leur situation, sans avoir à y consacrer plus d'efforts que nécessaire. Totalement exempte de jargon, mise à disposition sous la forme d'un service en ligne, elle demande simplement, pour remplir son office, de fournir les objectifs visés, puis de capter les flux, soit manuellement, soit par connexion directe à l'outil de facturation employé et/ou aux comptes bancaires.
Les algorithmes d'apprentissage automatique (« machine learning ») de la jeune pousse – dont la qualité s'affine au fur et à mesure de son exploitation, selon les paramètres individuels de chaque entreprise – entrent alors en piste et évaluent en permanence l'alignement de la trésorerie avec les cibles fixées, en établissant des prévisions de disponibilités, à différentes échéances. Les risques de défaut peuvent ainsi être détectés au plus tôt, permettant de prendre des mesures correctrices en temps utile.
Depuis son démarrage (discret) au printemps dernier, Agicap a conquis 50 clients, dont la consultation quotidienne démontre la valeur qu'ils retirent de la solution. Mais, outre son modèle direct (dont le volet économique repose sur une redevance mensuelle), la startup cherche à développer les partenariats B2B. Elle vient notamment de conclure un accord pour une intégration en marque blanche avec un réseau national d'experts comptables, dans le but de fournir une assistance complémentaire aux entreprises.
En perspective, une collaboration avec une banque vient naturellement à l'esprit, les synergies possibles étant immédiatement apparentes. On imagine aisément, par exemple, les prévisions de trésorerie insérées dans les services en ligne et accompagnées de solutions de financement immédiatement disponibles en cas de difficultés à l'horizon. Dans un autre registre, un conseiller qui examine le dossier de demande de crédit de son client pourrait s'appuyer sur les projections de l'outil pour prendre sa décision.
L'approche est donc susceptible de servir autant les banques que les TPE, les unes pour renforcer leur présence sur un segment au potentiel immense et mal exploité, les autres pour assurer leur sérénité en collaboration avec leur interlocuteur financier privilégié…
Depuis son démarrage (discret) au printemps dernier, Agicap a conquis 50 clients, dont la consultation quotidienne démontre la valeur qu'ils retirent de la solution. Mais, outre son modèle direct (dont le volet économique repose sur une redevance mensuelle), la startup cherche à développer les partenariats B2B. Elle vient notamment de conclure un accord pour une intégration en marque blanche avec un réseau national d'experts comptables, dans le but de fournir une assistance complémentaire aux entreprises.
En perspective, une collaboration avec une banque vient naturellement à l'esprit, les synergies possibles étant immédiatement apparentes. On imagine aisément, par exemple, les prévisions de trésorerie insérées dans les services en ligne et accompagnées de solutions de financement immédiatement disponibles en cas de difficultés à l'horizon. Dans un autre registre, un conseiller qui examine le dossier de demande de crédit de son client pourrait s'appuyer sur les projections de l'outil pour prendre sa décision.
L'approche est donc susceptible de servir autant les banques que les TPE, les unes pour renforcer leur présence sur un segment au potentiel immense et mal exploité, les autres pour assurer leur sérénité en collaboration avec leur interlocuteur financier privilégié…
Tout ceci est bien -tout comme la médiation interentreprises de l'état français- mais objectivement ce n'est pas à la hauteur des enjeux. Pour éviter les problèmes de trésorerie en B2B, il faut que les entreprises utilisent des solutions qui "mécaniquement" les empêchent d'avoir des impayés et retards de paiement. C'est possible aujourd'hui avec les algorithmes, et cela existe avec la solution BizOverBiz : www;bizoverbiz.com
RépondreSupprimerLa gestion de trésorerie et ses difficultés ne se réduisent pas au problème des délais de paiement…
SupprimerRien ne vaut l'accompagnement par un bon Expert en gestion des TPE / PME.
RépondreSupprimerBien entendu, le service proposé par AGICAP, est un outil formidable pour les dirigeants des TPE et des PME qui sont susceptibles d'analyser à bon escient les alertes et informations qu'il peut fournir. Toutefois, dans la plupart des cas l'usage optimal de cet outil nécessite l'accompagnement par un Expert Gestion aguerri. En effet une difficulté de trésorerie, même passagère, peut-être révélatrice dans certains cas de problèmes plus graves qui peuvent compromettre la pérennité de l'entreprise.
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