La mise en place de stations de visioconférence dans les agences bancaires, notamment pour faciliter l'accès à des conseillers spécialisés, est en pleine expansion aux États-Unis. Les progrès actuels des technologies vidéo trouvent donc naturellement leur place dans les déploiements. C'est maintenant le cas pour la 3D.
Une petite "coopérative de crédit" américaine (encore !), MidUSA Credit Union, a ainsi annoncé être la première à mettre en œuvre la technologie pionnière de la société Buffalo Pacific dans deux de ses agences. L'installation proposera classiquement aux clients de l'établissement d'échanger avec des spécialistes – par exemple sur des questions de prêts hypothécaires ou d'investissement – sans que ceux-ci n'aient à se déplacer ni requérir une prise de rendez-vous préalable.
Par rapport aux dispositifs habituellement retenus pour ce type d'application, la solution OmniSuite offre une véritable expérience de téléprésence, combinant haute qualité sonore et vidéo 3D en haute définition (sans lunettes). Pour l'utilisateur, son interlocuteur apparaît en grandeur réelle, dans des conditions permettant le contact des regards. Déjà impressionnantes en 2 dimensions (selon ma propre expérience), ces mêmes caractéristiques en 3 dimensions promettent une qualité aussi proche que possible d'une interaction présentielle.
Une petite "coopérative de crédit" américaine (encore !), MidUSA Credit Union, a ainsi annoncé être la première à mettre en œuvre la technologie pionnière de la société Buffalo Pacific dans deux de ses agences. L'installation proposera classiquement aux clients de l'établissement d'échanger avec des spécialistes – par exemple sur des questions de prêts hypothécaires ou d'investissement – sans que ceux-ci n'aient à se déplacer ni requérir une prise de rendez-vous préalable.
Par rapport aux dispositifs habituellement retenus pour ce type d'application, la solution OmniSuite offre une véritable expérience de téléprésence, combinant haute qualité sonore et vidéo 3D en haute définition (sans lunettes). Pour l'utilisateur, son interlocuteur apparaît en grandeur réelle, dans des conditions permettant le contact des regards. Déjà impressionnantes en 2 dimensions (selon ma propre expérience), ces mêmes caractéristiques en 3 dimensions promettent une qualité aussi proche que possible d'une interaction présentielle.
Le déploiement de la visioconférence dans les agences est généralement motivé à la fois par des gains de productivité, en permettant à un même expert de répondre aux sollicitations émanant d'une multitude d'implantations dispersées sur le territoire, et par la recherche d'une meilleure qualité de service aux clients, pour lesquels l'accès au conseil à forte valeur ajoutée se trouve simplifié. C'est sur ce dernier axe que MidUSA veut mettre l'accent avec l'expérience utilisateur optimisée de la téléprésence 3D.
L'objectif est tout d'abord de garantir une qualité parfaite aux entretiens à distance, de manière à démontrer aux clients qu'ils sont au moins aussi bien servis que si leur correspondant était à leurs côtés. Un peu plus en profondeur, l'ambition est également de rendre la technologie invisible, au point que l'utilisateur oublie ses éventuelles réticences, qu'elles soient explicites ou non. La seule question qui se pose alors est celle de la rentabilité : le coût de l'installation est-il cohérent avec les bénéfices attendus ?
A lire aussi sur le sujet : un article de CU Times et un autre de The Financial Brand.
Information repérée grâce à Chappuis Halder & Cie (merci !)
L'objectif est tout d'abord de garantir une qualité parfaite aux entretiens à distance, de manière à démontrer aux clients qu'ils sont au moins aussi bien servis que si leur correspondant était à leurs côtés. Un peu plus en profondeur, l'ambition est également de rendre la technologie invisible, au point que l'utilisateur oublie ses éventuelles réticences, qu'elles soient explicites ou non. La seule question qui se pose alors est celle de la rentabilité : le coût de l'installation est-il cohérent avec les bénéfices attendus ?
A lire aussi sur le sujet : un article de CU Times et un autre de The Financial Brand.
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