La finance participative est généralement considérée avec scepticisme (au mieux) par les banques. Quelques-unes se laissent malgré tout séduire par le concept, surtout lorsqu'il n'empiète pas réellement sur leur territoire. Un exemple emblématique a été celui de la Banque Postale, en voici désormais un autre avec ING Direct Australie : DreamStarter.
Les deux approches ont beaucoup de similitudes, notamment par le choix de s'appuyer sur un partenaire spécialisé : KissKissBankBank pour la française et StartSomeGood pour l'australienne. Les deux sont également basées sur un même modèle de "crowdfunding" non financier (et donc peu en concurrence avec les banques), dans lequel les contributions des participants sont "récompensées" uniquement par des cadeaux (souvent symboliques) à la discrétion des porteurs de projets.
Au chapitre des différences, à commencer par les plates-formes elles-mêmes, là ou KissKissBankBank cible la création sous toutes ses formes, StartSomeGood (et, par extension, DreamStarter) se focalise sur les projets à vocation sociale. Mais là où ING Direct se distingue plus particulièrement, c'est sur son implication. En effet, la banque dépasse le stade du partenariat assorti de quelques contributions financières pour créer son propre environnement de crowdfunding accueillant des projets spécifiques.
Afin d'attirer ceux-ci, et pour se différencier de la version "originale" de StartSomeGood, ING Direct s'engage à participer au financement des initiatives qui la séduiront. Autre particularité, du côté des appels aux contributeurs, la banque a choisi d'installer DreamStarter au cœur de sa présence sur Facebook (ce qui est finalement tellement logique !) à portée de clic de ses plus de 5000 fans.
Les deux approches ont beaucoup de similitudes, notamment par le choix de s'appuyer sur un partenaire spécialisé : KissKissBankBank pour la française et StartSomeGood pour l'australienne. Les deux sont également basées sur un même modèle de "crowdfunding" non financier (et donc peu en concurrence avec les banques), dans lequel les contributions des participants sont "récompensées" uniquement par des cadeaux (souvent symboliques) à la discrétion des porteurs de projets.
Au chapitre des différences, à commencer par les plates-formes elles-mêmes, là ou KissKissBankBank cible la création sous toutes ses formes, StartSomeGood (et, par extension, DreamStarter) se focalise sur les projets à vocation sociale. Mais là où ING Direct se distingue plus particulièrement, c'est sur son implication. En effet, la banque dépasse le stade du partenariat assorti de quelques contributions financières pour créer son propre environnement de crowdfunding accueillant des projets spécifiques.
Afin d'attirer ceux-ci, et pour se différencier de la version "originale" de StartSomeGood, ING Direct s'engage à participer au financement des initiatives qui la séduiront. Autre particularité, du côté des appels aux contributeurs, la banque a choisi d'installer DreamStarter au cœur de sa présence sur Facebook (ce qui est finalement tellement logique !) à portée de clic de ses plus de 5000 fans.
Avec ce dispositif de soutien, l'objectif principal affiché par la banque est d'introduire une nouvelle dimension dans sa politique de responsabilité sociale de l'entreprise. L'engagement sous-jacent est évident dans le choix d'une plate-forme consacrée à des projets sociaux mais il peut aussi être interprété différemment, puisqu'il s'agit tout autant de proposer un service financier à un secteur qui n'y a normalement pas accès.
Très lentement, le principe de la finance participative commence à entrer dans les réflexions de quelques banquiers. Naturellement, les initiatives actuelles restent encore extrêmement modestes mais elles sont abordées sous un angle très pertinent de la complémentarité avec les offres traditionnelles. En l'occurrence, il s'agit de soutenir des projets pour lesquels ces dernières sont totalement inexistantes.
La maturité progressant, peut-être arrivera ensuite une étape dans laquelle les approches collectives et sociales seront considérées comme une composante incontournable d'une solution de financement multi-forme...
Très lentement, le principe de la finance participative commence à entrer dans les réflexions de quelques banquiers. Naturellement, les initiatives actuelles restent encore extrêmement modestes mais elles sont abordées sous un angle très pertinent de la complémentarité avec les offres traditionnelles. En l'occurrence, il s'agit de soutenir des projets pour lesquels ces dernières sont totalement inexistantes.
La maturité progressant, peut-être arrivera ensuite une étape dans laquelle les approches collectives et sociales seront considérées comme une composante incontournable d'une solution de financement multi-forme...
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