Si les « offres liées à la carte » (CLO) connaissent un certain succès outre-Atlantique – sous la houlette, entre autres, de Cardlytics – elles restent encore largement inconnues en Europe. Aujourd'hui, une startup britannique, Birdback, se lance à l'assaut de ce marché prometteur, en ciblant prioritairement le Royaume-Uni et la France.
Quelles qu'en soient les variantes, le principe des CLO est simple : les consommateurs ont dans leur portefeuille une multitude de bons de réduction, de coupons promotionnels, de cartes de fidélité… qu'ils oublient fréquemment et dont ils ne profitent donc pas, alors qu'ils possèdent un support idéal pour « stocker » ces offres et les avoir toujours à portée de la main : leur carte de paiement. Une fois celle-ci enregistrée, il suffit de payer avec elle pour bénéficier des avantages promis.
Dans le cas de Birdback, le mode opératoire retenu est légèrement différent de celui des autres acteurs du domaine, car il est fondamentalement centré sur le commerçant. Ainsi, lorsque le porteur de carte découvre une promotion qui l'intéresse, il saisit son numéro de carte pour en bénéficier lors de son prochain achat qualifiant. Ce geste unique fournit alors au marchand un canal privilégié pour prolonger ses actions de marketing dans la durée, afin de fidéliser le client nouvellement conquis.
Quelles qu'en soient les variantes, le principe des CLO est simple : les consommateurs ont dans leur portefeuille une multitude de bons de réduction, de coupons promotionnels, de cartes de fidélité… qu'ils oublient fréquemment et dont ils ne profitent donc pas, alors qu'ils possèdent un support idéal pour « stocker » ces offres et les avoir toujours à portée de la main : leur carte de paiement. Une fois celle-ci enregistrée, il suffit de payer avec elle pour bénéficier des avantages promis.
Dans le cas de Birdback, le mode opératoire retenu est légèrement différent de celui des autres acteurs du domaine, car il est fondamentalement centré sur le commerçant. Ainsi, lorsque le porteur de carte découvre une promotion qui l'intéresse, il saisit son numéro de carte pour en bénéficier lors de son prochain achat qualifiant. Ce geste unique fournit alors au marchand un canal privilégié pour prolonger ses actions de marketing dans la durée, afin de fidéliser le client nouvellement conquis.
Naturellement, Birdback conserve son rôle d'intermédiaire tout au long de cette relation, notamment pour la gestion sécurisée des coordonnées des cartes. Cela permet à la jeune pousse de proposer aussi aux marchands une plate-forme évoluée de suivi et d'analyse des transactions, qui leur donne une visibilité précise sur les résultats de leurs campagnes. Finies les promotions dont l'émetteur ignore les retombées : chaque utilisation d'une offre est associée à un premier achat, puis aux suivants…
La cible principale de Birdback est évidemment celle des commerces – surtout ceux, petits et moyens, qui n'ont pas les moyens de bâtir leur propre solution. Elle comprend également les spécialistes de la distribution de coupons et des programmes d'affiliation. La startup imagine même une utilisation en entreprise, pour gérer des offres spéciales (telles que celles que distribuent les comités d'entreprise). Enfin, les institutions financières ne sont pas oubliées, en particulier pour celles qui veulent apporter un nouveau service à leurs clients professionnels.
Après l'arrivée récente de Cardlinkin' (dont la solution s'adresse aux banques), l'entrée en scène de Birdback semble décidément marquer les débuts du « marketing lié à la carte bancaire » sur le marché français. Pour la petite nouvelle, outre la conquête des commerçants, la principale difficulté sera certainement de convaincre les consommateurs de saisir leur numéro de carte pour bénéficier des offres. Mais si elle y parvient, les acteurs historiques risquent encore de voir leur échapper une opportunité de revenus…
La cible principale de Birdback est évidemment celle des commerces – surtout ceux, petits et moyens, qui n'ont pas les moyens de bâtir leur propre solution. Elle comprend également les spécialistes de la distribution de coupons et des programmes d'affiliation. La startup imagine même une utilisation en entreprise, pour gérer des offres spéciales (telles que celles que distribuent les comités d'entreprise). Enfin, les institutions financières ne sont pas oubliées, en particulier pour celles qui veulent apporter un nouveau service à leurs clients professionnels.
Après l'arrivée récente de Cardlinkin' (dont la solution s'adresse aux banques), l'entrée en scène de Birdback semble décidément marquer les débuts du « marketing lié à la carte bancaire » sur le marché français. Pour la petite nouvelle, outre la conquête des commerçants, la principale difficulté sera certainement de convaincre les consommateurs de saisir leur numéro de carte pour bénéficier des offres. Mais si elle y parvient, les acteurs historiques risquent encore de voir leur échapper une opportunité de revenus…
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