Face à la révolution numérique, nombre de grandes entreprises mettent en place un « comité digital », chargé d'en appréhender les impacts et de préparer les transformations nécessaires. Dans le cas d'US Bank, l'idée est poussée un peu plus loin, avec la désignation d'une douzaine de « digital natives » pour accompagner la démarche.
Dans la lignée d'un programme initié en 2009, chaque membre du conseil de direction de l'institution vient de sélectionner son représentant pour l'année 2015 dans ce comité d'un genre un peu particulier. Une équipe de 13 jeunes collaborateurs – qualifiée de « Dynamic Dozen » – est ainsi constituée. Ses membres sont issus des différents métiers de l'organisation (risque et conformité, gestion de fortune, multi-canal, technologie, ressources humaines, banque d'investissement, paiements…) et leur rôle est d'instiller une vision de la banque adaptée aux consommateurs de demain.
Loin d'être seulement théorique, cette ambition se décline de manière très concrète et opérationnelle, notamment à travers la participation des heureux élus à des enquêtes sur les futurs produits, services et autres innovations de la banque ou encore via une implication directe dans certains projets stratégiques. Dans tous les cas, leur mission effective est de garantir que l'entreprise, dans son ensemble et dans ses grandes orientations, est en phase avec les besoins et les attentes des membres de la Génération Y (et des suivantes), aussi bien en tant qu'employés que comme clients.
En réalité, le groupe des « Dynamic Dozen » dispose d'une autonomie assez large dans son fonctionnement, dans un cadre générique établi par les sponsors de l'initiative. En particulier, ils définissent eux-mêmes le projet qu'ils perçoivent comme clé pour l'avenir. Par le passé, cette approche a été à l'origine d'une refonte du design de l'application mobile d'US Bank et de la conception d'offres destinées aux étudiants, par exemple, tandis que, en interne, les cas cités comprennent une contribution à l'évaluation de prototypes de sites intranets et aux programmes de développement des carrières.
Une caractéristique essentielle du monde numérique qui se dessine autour de nous est qu'il est vécu « nativement » par les plus jeunes (nés avec Internet) mais qu'il reste extrêmement difficile à appréhender pour leurs aînés. Un transfert de culture – à l'image de celui organisé par AXA avec son opération de « reverse mentoring » (quelques collaborateurs de la Génération Y sensibilisent les plus anciens) – peut constituer une première étape vers une appropriation mais rien ne vaut l'immersion des principaux intéressés pour avancer rapidement dans la bonne direction.
Dans la lignée d'un programme initié en 2009, chaque membre du conseil de direction de l'institution vient de sélectionner son représentant pour l'année 2015 dans ce comité d'un genre un peu particulier. Une équipe de 13 jeunes collaborateurs – qualifiée de « Dynamic Dozen » – est ainsi constituée. Ses membres sont issus des différents métiers de l'organisation (risque et conformité, gestion de fortune, multi-canal, technologie, ressources humaines, banque d'investissement, paiements…) et leur rôle est d'instiller une vision de la banque adaptée aux consommateurs de demain.
Loin d'être seulement théorique, cette ambition se décline de manière très concrète et opérationnelle, notamment à travers la participation des heureux élus à des enquêtes sur les futurs produits, services et autres innovations de la banque ou encore via une implication directe dans certains projets stratégiques. Dans tous les cas, leur mission effective est de garantir que l'entreprise, dans son ensemble et dans ses grandes orientations, est en phase avec les besoins et les attentes des membres de la Génération Y (et des suivantes), aussi bien en tant qu'employés que comme clients.
En réalité, le groupe des « Dynamic Dozen » dispose d'une autonomie assez large dans son fonctionnement, dans un cadre générique établi par les sponsors de l'initiative. En particulier, ils définissent eux-mêmes le projet qu'ils perçoivent comme clé pour l'avenir. Par le passé, cette approche a été à l'origine d'une refonte du design de l'application mobile d'US Bank et de la conception d'offres destinées aux étudiants, par exemple, tandis que, en interne, les cas cités comprennent une contribution à l'évaluation de prototypes de sites intranets et aux programmes de développement des carrières.
Une caractéristique essentielle du monde numérique qui se dessine autour de nous est qu'il est vécu « nativement » par les plus jeunes (nés avec Internet) mais qu'il reste extrêmement difficile à appréhender pour leurs aînés. Un transfert de culture – à l'image de celui organisé par AXA avec son opération de « reverse mentoring » (quelques collaborateurs de la Génération Y sensibilisent les plus anciens) – peut constituer une première étape vers une appropriation mais rien ne vaut l'immersion des principaux intéressés pour avancer rapidement dans la bonne direction.
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