Pour trop d'entreprises, la révolution numérique ne représente guère plus que la transition d'une partie de leurs activités historiques vers des médias modernes, web ou mobile. Or, il s'agit de bien plus que cela. Par exemple, à l'approche de son prochain BPM Summit, le cabinet Gartner évoque la nécessaire transformation des processus.
Le monde de demain sera en perpétuel mouvement : les attentes des clients évolueront sans cesse et les innovations – qu'elles soient technologiques ou autres – offriront régulièrement de nouvelles opportunités. Dans cet environnement, la seule automatisation des processus existants – même si elle rend possible leur modification rapide – ne sera plus suffisante. Les organisations performantes seront celles qui sauront intégrer « nativement » l'instabilité au cœur de leurs modes opératoires.
Selon une prédiction des analystes de Gartner, d'ici à 2017, 70% des entreprises qui auront réussi leur transformation numérique auront mis en œuvre des processus capables de réagir spontanément aux besoins changeants des clients. Encore une fois, il n'est pas ici question de se contenter d'un simple transfert des fonctions actuelles vers une tablette ou dans une application mobile. L'enjeu est de redéfinir entièrement la manière dont l'entreprise fonctionne, en acceptant une précarité permanente.
Les processus parfaitement rodés, plus ou moins formalisés, plus ou moins rigides, ne pourront plus répondre aux exigences. L'entreprise devra être en mesure de se reconfigurer instantanément à l'apparition de nouveaux signaux (issus des gigantesques masses d'information produites sur le web, via l'internet des objets…). Dans un autre registre, il lui faudra également se mettre en position d'intégrer en quasi temps réel les innovations qu'elle produira, y compris à travers des modèles économiques dynamiques, auto-ajustés en fonction des conditions extérieures.
Les processus réinventés seront adaptatifs et stimuleront la créativité, tout en devenant beaucoup plus résilients face aux évolutions de contexte. Au lieu de nécessiter des mises à jour régulières et de plus en plus urgentes, ils permettront de prendre en compte les changements sans rupture. Naturellement, la transition vers une telle vision demande une approche radicalement différente de celles qui prévalent aujourd'hui. Elle doit donc être préparée avec la prochaine génération d'initiatives autour du BPM.
Le monde de demain sera en perpétuel mouvement : les attentes des clients évolueront sans cesse et les innovations – qu'elles soient technologiques ou autres – offriront régulièrement de nouvelles opportunités. Dans cet environnement, la seule automatisation des processus existants – même si elle rend possible leur modification rapide – ne sera plus suffisante. Les organisations performantes seront celles qui sauront intégrer « nativement » l'instabilité au cœur de leurs modes opératoires.
Selon une prédiction des analystes de Gartner, d'ici à 2017, 70% des entreprises qui auront réussi leur transformation numérique auront mis en œuvre des processus capables de réagir spontanément aux besoins changeants des clients. Encore une fois, il n'est pas ici question de se contenter d'un simple transfert des fonctions actuelles vers une tablette ou dans une application mobile. L'enjeu est de redéfinir entièrement la manière dont l'entreprise fonctionne, en acceptant une précarité permanente.
Les processus parfaitement rodés, plus ou moins formalisés, plus ou moins rigides, ne pourront plus répondre aux exigences. L'entreprise devra être en mesure de se reconfigurer instantanément à l'apparition de nouveaux signaux (issus des gigantesques masses d'information produites sur le web, via l'internet des objets…). Dans un autre registre, il lui faudra également se mettre en position d'intégrer en quasi temps réel les innovations qu'elle produira, y compris à travers des modèles économiques dynamiques, auto-ajustés en fonction des conditions extérieures.
Les processus réinventés seront adaptatifs et stimuleront la créativité, tout en devenant beaucoup plus résilients face aux évolutions de contexte. Au lieu de nécessiter des mises à jour régulières et de plus en plus urgentes, ils permettront de prendre en compte les changements sans rupture. Naturellement, la transition vers une telle vision demande une approche radicalement différente de celles qui prévalent aujourd'hui. Elle doit donc être préparée avec la prochaine génération d'initiatives autour du BPM.
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