En juin dernier, Société Générale présentait son dispositif de « taxe carbone interne » destiné à la fois à sensibiliser toutes les entités du Groupe à l'indispensable maîtrise de leurs émissions de gaz à effet de serre (« GES ») et à soutenir – financièrement – des actions concrètes participant à la réduction de l'impact environnemental du groupe.
Sept mois plus tard, la banque tient l'une de ses promesses en annonçant la distribution des 2,6 millions d'euros collectés et réengagés dans l'opération. Ces fonds sont donc alloués à 28 projets différents, couvrant des domaines extrêmement variés, de l'immobilier à l'informatique en passant par les transports. Globalement, ces initiatives engendrent une réduction des émissions annuelles de GES de plus de 2 500 tonnes d'équivalent CO2, soit 0,8% du total déclaré par le groupe.
Encore plus intéressant, cette baisse se traduit également par des économies sur la facture énergétique de l'entreprise, évaluées à 2,5 millions d'euros par an. Autrement dit, l'investissement exceptionnel consenti pour mettre en place quelques bonnes pratiques est remboursé en à peine plus d'un an ! La démonstration est ainsi clairement faite du double avantage – environnemental et financier – d'une politique active de maîtrise des émissions de GES.
L'exemple que donne Société Générale est encore plus admirable quand on découvre que les actions engagées sont finalement simples à mettre en œuvre : des équipements de détection des excès de consommation d'eau et d'électricité dans les agences, la couverture des besoins énergétiques de la filiale polynésienne par l'énergie solaire, des imprimantes intelligentes (en nombre réduit et à badge individuel), des bornes de rechargement de véhicules électriques…
Les promoteurs du développement durable en entreprise le répètent depuis longtemps : dépenser pour la réduction des émissions de GES participe aussi à la réduction des coûts et des modèles d'auto-financement sont souvent possibles. Après son premier succès, Société Générale commence à le comprendre : elle reconduit son effort en 2014, avec une enveloppe en forte hausse (à 3,2 millions d'euros) et un enthousiasme marqué des collaborateurs impliqués.
Sept mois plus tard, la banque tient l'une de ses promesses en annonçant la distribution des 2,6 millions d'euros collectés et réengagés dans l'opération. Ces fonds sont donc alloués à 28 projets différents, couvrant des domaines extrêmement variés, de l'immobilier à l'informatique en passant par les transports. Globalement, ces initiatives engendrent une réduction des émissions annuelles de GES de plus de 2 500 tonnes d'équivalent CO2, soit 0,8% du total déclaré par le groupe.
Encore plus intéressant, cette baisse se traduit également par des économies sur la facture énergétique de l'entreprise, évaluées à 2,5 millions d'euros par an. Autrement dit, l'investissement exceptionnel consenti pour mettre en place quelques bonnes pratiques est remboursé en à peine plus d'un an ! La démonstration est ainsi clairement faite du double avantage – environnemental et financier – d'une politique active de maîtrise des émissions de GES.
L'exemple que donne Société Générale est encore plus admirable quand on découvre que les actions engagées sont finalement simples à mettre en œuvre : des équipements de détection des excès de consommation d'eau et d'électricité dans les agences, la couverture des besoins énergétiques de la filiale polynésienne par l'énergie solaire, des imprimantes intelligentes (en nombre réduit et à badge individuel), des bornes de rechargement de véhicules électriques…
Les promoteurs du développement durable en entreprise le répètent depuis longtemps : dépenser pour la réduction des émissions de GES participe aussi à la réduction des coûts et des modèles d'auto-financement sont souvent possibles. Après son premier succès, Société Générale commence à le comprendre : elle reconduit son effort en 2014, avec une enveloppe en forte hausse (à 3,2 millions d'euros) et un enthousiasme marqué des collaborateurs impliqués.
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