Pour la plupart des individus, la gestion des finances personnelles est une corvée dont ils préféreraient ne pas avoir à se préoccuper et que, d'ailleurs, beaucoup d'entre eux négligent, à leurs propres dépens. La jeune pousse américaine Envel estime que les technologies modernes sont désormais en mesure de suppléer à leurs réticences.
Même si nous sommes tous plus ou moins conscients de la nécessité de veiller régulièrement à notre utilisation de l'argent, établir et suivre un budget, avec rigueur et dans la durée, paraît souvent complexe et toujours rébarbatif. Pourtant les quelques bonnes pratiques essentielles d'une gestion saine s'avèrent finalement plutôt simples à appliquer. Pourquoi alors ne pas utiliser des algorithmes (dotés d'un soupçon d'intelligence artificielle) pour automatiser ce que nous refusons de faire nous-mêmes ?
Avec sa solution, actuellement en cours de développement, Envel s'attelle précisément à concrétiser cette vision d'une banque qui exécute spontanément les gestes élémentaires que tout consommateur devrait adopter afin de se faciliter la vie financière. Premier principe du dispositif, les avoirs de l'utilisateur sont répartis dans 4 enveloppes (virtuelles) distinctes : celle destinée à payer les frais récurrents, une réserve pour les urgences, une épargne à long terme et le reste à dépenser, pour les achats du quotidien.
Même si nous sommes tous plus ou moins conscients de la nécessité de veiller régulièrement à notre utilisation de l'argent, établir et suivre un budget, avec rigueur et dans la durée, paraît souvent complexe et toujours rébarbatif. Pourtant les quelques bonnes pratiques essentielles d'une gestion saine s'avèrent finalement plutôt simples à appliquer. Pourquoi alors ne pas utiliser des algorithmes (dotés d'un soupçon d'intelligence artificielle) pour automatiser ce que nous refusons de faire nous-mêmes ?
Avec sa solution, actuellement en cours de développement, Envel s'attelle précisément à concrétiser cette vision d'une banque qui exécute spontanément les gestes élémentaires que tout consommateur devrait adopter afin de se faciliter la vie financière. Premier principe du dispositif, les avoirs de l'utilisateur sont répartis dans 4 enveloppes (virtuelles) distinctes : celle destinée à payer les frais récurrents, une réserve pour les urgences, une épargne à long terme et le reste à dépenser, pour les achats du quotidien.
Au fur et à mesure des transactions réalisées, grâce à des techniques d'apprentissage automatique, l'application analyse les habitudes du client, comprend ses besoins, détecte ses défauts, identifie les opportunités de correction… qu'elle affine continuellement. À partir de cette connaissance, elle va pouvoir intervenir à bon escient, par exemple en veillant à constituer puis maintenir une épargne de précaution ou en aidant à maîtriser les achats impulsifs (via un mécanisme d'allocation des fonds à dépenser chaque jour).
Pour ajouter un peu de sel à l'expérience et compléter son approche de détournement des envies consuméristes vers une recherche de sécurité financière, Envel inclut dans sa panoplie un système de récompenses (symboliques), attribuées pour chaque geste considéré comme « positif », qui sert à un établir un classement sur lequel les utilisateurs peuvent comparer leurs performances. La startup imagine même de faire de cet indicateur du comportement réel un substitut au score de crédit traditionnel.
Depuis la nuit des temps, l'être humain s'est ingénié à créer des outils capables de le libérer des tâches ingrates et pénibles. La gestion de finances personnelles entre certainement dans cette catégorie et il est donc plus que temps que les solutions logicielles disponibles aujourd'hui s'y attaquent. Il ne faudrait toutefois pas tomber dans un excès de contrôle – Envel semble notamment plafonner effectivement, au niveau de la carte, les dépenses quotidiennes – sous peine d'effrayer les clients potentiels.
Pour ajouter un peu de sel à l'expérience et compléter son approche de détournement des envies consuméristes vers une recherche de sécurité financière, Envel inclut dans sa panoplie un système de récompenses (symboliques), attribuées pour chaque geste considéré comme « positif », qui sert à un établir un classement sur lequel les utilisateurs peuvent comparer leurs performances. La startup imagine même de faire de cet indicateur du comportement réel un substitut au score de crédit traditionnel.
Depuis la nuit des temps, l'être humain s'est ingénié à créer des outils capables de le libérer des tâches ingrates et pénibles. La gestion de finances personnelles entre certainement dans cette catégorie et il est donc plus que temps que les solutions logicielles disponibles aujourd'hui s'y attaquent. Il ne faudrait toutefois pas tomber dans un excès de contrôle – Envel semble notamment plafonner effectivement, au niveau de la carte, les dépenses quotidiennes – sous peine d'effrayer les clients potentiels.
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