À peine un an après avoir commencé à enrichir son porte-monnaie mobile avec la capacité d'y ajouter des coupons de réduction, cartes de fidélité, billets en tout genre et autres cartes d'embarquement, Google s'ingénie à rendre l'expérience des utilisateurs toujours plus simple, grâce à une intégration automatique avec sa messagerie GMail.
Dans le monde dématérialisé d'aujourd'hui, la plupart des informations que nous recevons nous parviennent par courriel, qu'il s'agisse des promotions de nos commerces préférés, du suivi des comptes que nous détenons auprès de grandes marques, des confirmations de réservation de spectacle ou de voyage… Avec Google Pay, il suffit donc maintenant d'activer l'analyse automatique de la boîte de réception des messages sur son smartphone pour que toutes ces données soient captées et « virtualisées ».
La faculté d'insérer dans le porte-monnaie des items divers et variés constituait déjà un progrès par rapport à son équivalent dans le monde réel, en permettant de toujours disposer des justificatifs nécessaires à portée de la main, parfois même mis en avant spontanément au moment et/ou dans le lieu où il sont requis (par exemple à l'approche de l'heure de décollage d'un avion, à l'aéroport). Désormais, il devient donc également possible de ne plus devoir se préoccuper d'enregistrer les éléments concernés.
Bien entendu, cette facilité représente un moyen pour Google de développer l'usage de sa solution de paiement et d'en faire un service indispensable. Mais il s'agit aussi d'adapter sa palette d'outils aux attentes des consommateurs, en simplifiant toujours plus leurs parcours. Ainsi, après l'échec de son réseau social, l'entreprise explore les opportunités de transformer sa messagerie, extrêmement populaire, en une plate-forme qui centralise les actes de la vie quotidienne, comme l'illustre, par ailleurs, l'apparition récente d'actions associées aux messages (commenter un document, comparer les hôtels…).
Le fait est incontournable : l'avenir est aux « expériences » et toute application, quelle que soit ses qualités, qui ne s'inscrit pas dans la perspective de l'environnement et du contexte de son utilisateur risque de perdre rapidement toute pertinence. Les géants du web sont naturellement les mieux placés pour adopter une telle vision, la diversité de leurs catalogues leur permettant de constituer leur propre écosystème. Pourtant, ils ne peuvent pas se suffire à eux-mêmes et il reste donc de la place – beaucoup de place, en réalité – pour les acteurs qui comprennent comment participer à cette évolution.
Dans le monde dématérialisé d'aujourd'hui, la plupart des informations que nous recevons nous parviennent par courriel, qu'il s'agisse des promotions de nos commerces préférés, du suivi des comptes que nous détenons auprès de grandes marques, des confirmations de réservation de spectacle ou de voyage… Avec Google Pay, il suffit donc maintenant d'activer l'analyse automatique de la boîte de réception des messages sur son smartphone pour que toutes ces données soient captées et « virtualisées ».
La faculté d'insérer dans le porte-monnaie des items divers et variés constituait déjà un progrès par rapport à son équivalent dans le monde réel, en permettant de toujours disposer des justificatifs nécessaires à portée de la main, parfois même mis en avant spontanément au moment et/ou dans le lieu où il sont requis (par exemple à l'approche de l'heure de décollage d'un avion, à l'aéroport). Désormais, il devient donc également possible de ne plus devoir se préoccuper d'enregistrer les éléments concernés.
Bien entendu, cette facilité représente un moyen pour Google de développer l'usage de sa solution de paiement et d'en faire un service indispensable. Mais il s'agit aussi d'adapter sa palette d'outils aux attentes des consommateurs, en simplifiant toujours plus leurs parcours. Ainsi, après l'échec de son réseau social, l'entreprise explore les opportunités de transformer sa messagerie, extrêmement populaire, en une plate-forme qui centralise les actes de la vie quotidienne, comme l'illustre, par ailleurs, l'apparition récente d'actions associées aux messages (commenter un document, comparer les hôtels…).
Le fait est incontournable : l'avenir est aux « expériences » et toute application, quelle que soit ses qualités, qui ne s'inscrit pas dans la perspective de l'environnement et du contexte de son utilisateur risque de perdre rapidement toute pertinence. Les géants du web sont naturellement les mieux placés pour adopter une telle vision, la diversité de leurs catalogues leur permettant de constituer leur propre écosystème. Pourtant, ils ne peuvent pas se suffire à eux-mêmes et il reste donc de la place – beaucoup de place, en réalité – pour les acteurs qui comprennent comment participer à cette évolution.
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