Partenaire historique des PME et des artisans, le groupe Banque Populaire publie depuis 20 ans le magazine « Cockp1t », offrant aux entrepreneurs des avis d'experts, témoignages de pairs et autres dossiers thématiques. A l'occasion de sa modernisation, il se dote d'une présence sur LinkedIn, réseau social numéro 1 des professionnels.
A ce jour, l'initiative, elle aussi baptisée « Cockp1t », a une ambition limitée puisqu'elle consiste à relayer les contenus produits par la banque, issus du magazine imprimé ou d'ailleurs (dont un article quasi quotidien publié sur le site institutionnel). La principale nouveauté est donc que les lecteurs (clients ou non) ont maintenant la possibilité, au sein du réseau social, de donner leur avis sur les sujets abordés, soit par l'intermédiaire d'un simple « like », soit en postant leurs commentaires libres.
Quelques jours après le lancement, les « suiveurs » sont peu nombreux (50 au moment où j'écris ces lignes, à comparer aux 35 000 abonnés de l'édition imprimée), et ces pionniers sont, pour l'essentiel, des collaborateurs des Banques Populaires. Il faudra certainement du temps avant d'espérer voir la page Cockp1t se transformer en une véritable communauté. Car l'objectif d'une présence sur LinkedIn ne peut être que celui-ci : faire émerger un dialogue entre les entrepreneurs, grâce à leur banque.
A ce jour, l'initiative, elle aussi baptisée « Cockp1t », a une ambition limitée puisqu'elle consiste à relayer les contenus produits par la banque, issus du magazine imprimé ou d'ailleurs (dont un article quasi quotidien publié sur le site institutionnel). La principale nouveauté est donc que les lecteurs (clients ou non) ont maintenant la possibilité, au sein du réseau social, de donner leur avis sur les sujets abordés, soit par l'intermédiaire d'un simple « like », soit en postant leurs commentaires libres.
Quelques jours après le lancement, les « suiveurs » sont peu nombreux (50 au moment où j'écris ces lignes, à comparer aux 35 000 abonnés de l'édition imprimée), et ces pionniers sont, pour l'essentiel, des collaborateurs des Banques Populaires. Il faudra certainement du temps avant d'espérer voir la page Cockp1t se transformer en une véritable communauté. Car l'objectif d'une présence sur LinkedIn ne peut être que celui-ci : faire émerger un dialogue entre les entrepreneurs, grâce à leur banque.
Il s'agit là d'une tendance émergente – déjà mise à profit par, entre autres, Citi et American Express – capitalisant sur le succès de la plate-forme. En effet, LinkedIn devient progressivement un lieu incontournable pour les échanges professionnels et il est donc tentant pour les institutions financières de chercher à s'y insinuer, afin de développer un nouveau mode de relation avec et entre leurs clients, autour des thèmes qui les intéressent (d'ailleurs pas toujours directement liés à la banque ou à la finance).
Si l'approche « magazine » adoptée par les Banques Populaires reste relativement modeste, elle a l'immense avantage d'être beaucoup plus facile à mettre en œuvre qu'un espace de discussion entièrement ouvert. En contrepartie, la constitution d'une communauté active autour des contenus proposés pourrait s'avérer plus laborieuse. Pour y parvenir et donner une certaine dimension de réseau social à Cockp1t, des efforts d'animation conséquents seront indispensables. Il sera toujours temps, ensuite, de faire évoluer le modèle…
Si l'approche « magazine » adoptée par les Banques Populaires reste relativement modeste, elle a l'immense avantage d'être beaucoup plus facile à mettre en œuvre qu'un espace de discussion entièrement ouvert. En contrepartie, la constitution d'une communauté active autour des contenus proposés pourrait s'avérer plus laborieuse. Pour y parvenir et donner une certaine dimension de réseau social à Cockp1t, des efforts d'animation conséquents seront indispensables. Il sera toujours temps, ensuite, de faire évoluer le modèle…
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