Troisième épisode de ma petite série consacrée à la « créativité en temps de crise », voici cette fois l'initiative d'une banque qui veut aider les petits commerçants à survivre à la période de confinement actuelle en leur fournissant un outil (mobile) avec lequel ils peuvent mettre en place facilement une boutique virtuelle sur les réseaux sociaux.
Aux quatre coins du monde, des millions de magasins ont dû fermer leurs portes pour quelques semaines ou quelques mois, laissant fréquemment leurs propriétaires sans moyens de poursuivre leur activité et assurer leur subsistance. Certes, la plupart d'entre eux pourraient certainement se convertir à la vente en ligne, mais comment faire pour monter un site web dans l'urgence, sans aucune compétence, avec toutes ses composantes indispensables : socle technologique, marketing, paiement, logistique…?
L'espagnole CaixaBank vient donc à la rescousse, avec son application « SocialCommerce » (affichée comme nouvelle mais, en réalité, disponible depuis quelques mois). Comme son nom l'indique, elle est destinée à déployer des capacités de distribution sur les réseaux sociaux, de manière à non seulement profiter de la présence renforcée des consommateurs confinés sur ces plates-formes mais également capitaliser sur les relations qu'ils y entretiennent déjà avec leurs marques préférées.
En effet, nombreux sont les clients (satisfaits) qui restent en contact sur Facebook, Instagram, Twitter, WhatsApp… avec les petites et grandes enseignes auprès desquelles ils ont (ou avaient) leurs habitudes. Dans ces conditions, l'approche la plus logique et la plus efficace consiste à leur permettre de continuer à acheter les produits dont ils ont besoin ou envie directement depuis ces espaces. C'est ce que propose la solution de CaixaBank à tout entrepreneur, qu'il détienne ou non un compte dans la banque.
Aux quatre coins du monde, des millions de magasins ont dû fermer leurs portes pour quelques semaines ou quelques mois, laissant fréquemment leurs propriétaires sans moyens de poursuivre leur activité et assurer leur subsistance. Certes, la plupart d'entre eux pourraient certainement se convertir à la vente en ligne, mais comment faire pour monter un site web dans l'urgence, sans aucune compétence, avec toutes ses composantes indispensables : socle technologique, marketing, paiement, logistique…?
L'espagnole CaixaBank vient donc à la rescousse, avec son application « SocialCommerce » (affichée comme nouvelle mais, en réalité, disponible depuis quelques mois). Comme son nom l'indique, elle est destinée à déployer des capacités de distribution sur les réseaux sociaux, de manière à non seulement profiter de la présence renforcée des consommateurs confinés sur ces plates-formes mais également capitaliser sur les relations qu'ils y entretiennent déjà avec leurs marques préférées.
En effet, nombreux sont les clients (satisfaits) qui restent en contact sur Facebook, Instagram, Twitter, WhatsApp… avec les petites et grandes enseignes auprès desquelles ils ont (ou avaient) leurs habitudes. Dans ces conditions, l'approche la plus logique et la plus efficace consiste à leur permettre de continuer à acheter les produits dont ils ont besoin ou envie directement depuis ces espaces. C'est ce que propose la solution de CaixaBank à tout entrepreneur, qu'il détienne ou non un compte dans la banque.
En premier lieu, avec « SocialCommerce », le commerçant peut créer rapidement des annonces (illustrées) pour ses différents produits et les publier en quelques gestes sur l'ensemble des médias sociaux où il a établi sa présence. Naturellement, chacun de ces contenus comporte un lien pour passer commande et obtenir les instructions de paiement. Dans ce dernier registre, un nouveau service est mis en œuvre, PayGold, supportant les encaissements par messagerie ou par SMS, sans aucun développement.
Dès l'ordre confirmé et le règlement validé, le propriétaire de la boutique est notifié sur son tableau de bord et il ne lui reste qu'à se charger de la livraison (pour laquelle aucune aide – modes d'expéditions classiques, suggestion de partenaires… – n'est hélas prévue). En complément, un module analyse les interactions de l'entreprise avec les internautes sur les réseaux sociaux et restitue toutes les informations utiles et nécessaires afin d'optimiser la portée des messages partagés et développer les ventes.
Comme il arrive souvent avec les aventures de CaixaBank hors de son secteur d'origine, se pose la question de la légitimité d'une banque dans le e-commerce. En l'occurrence, la promesse d'une solution facile à mettre en œuvre, avec un moyen de paiement sécurisé et sans complication, mise à disposition par un acteur de confiance, aura peut-être une résonance particulière dans les circonstances (et l'urgence) d'aujourd'hui.
Dès l'ordre confirmé et le règlement validé, le propriétaire de la boutique est notifié sur son tableau de bord et il ne lui reste qu'à se charger de la livraison (pour laquelle aucune aide – modes d'expéditions classiques, suggestion de partenaires… – n'est hélas prévue). En complément, un module analyse les interactions de l'entreprise avec les internautes sur les réseaux sociaux et restitue toutes les informations utiles et nécessaires afin d'optimiser la portée des messages partagés et développer les ventes.
Comme il arrive souvent avec les aventures de CaixaBank hors de son secteur d'origine, se pose la question de la légitimité d'une banque dans le e-commerce. En l'occurrence, la promesse d'une solution facile à mettre en œuvre, avec un moyen de paiement sécurisé et sans complication, mise à disposition par un acteur de confiance, aura peut-être une résonance particulière dans les circonstances (et l'urgence) d'aujourd'hui.
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