Si toutes les grandes entreprises ont désormais une stratégie sur les médias sociaux, celle-ci reste généralement assez empirique et probablement embryonnaire. Dans la majorité des cas, même avec les outillages les plus élaborés, elle se résume à deux axes principaux : surveiller la réputation et engager une conversation porteuse de valeur avec les internautes.
Le domaine est encore émergent et il ne fait aucun doute que de nouvelles approches pour "exploiter" le potentiel des réseaux sociaux vont continuer à se développer. Socialware est l'un des premiers à s'aventurer hors des sentiers battus. La startup proposait jusqu'à maintenant une plate-forme dédiée aux institutions financières, leur permettant d'ouvrir la porte des médias sociaux à leurs employés, tout en assurant le respect de la réglementation en vigueur (enregistrement et traçabilité des échanges) et des politiques internes (contrôle a priori des messages publiés).
Cette offre, directement positionnée sur l'axe "engagement des internautes", s'enrichit maintenant d'une nouvelle dimension d'"écoute", dont l'objectif est de capitaliser sur les relations de l'utilisateur (et non sur la totalité du web social, comme c'est le cas dans le suivi de réputation). Concrètement, en analysant les conversations des contacts du conseiller, le système va pouvoir automatiquement émettre des alertes lorsque son réseau bruisse des échos d'un mariage, d'une naissance à venir, d'un changement d'emploi...
Or, ces évènements majeurs sont souvent aussi l'occasion d'une évolution dans le portefeuille financier des personnes concernées, par exemple la réalloacation des priorités du patrimoine, la souscription d'une assurance vie ou l'ouverture d'un plan pour la retraite... Le conseiller disposera ainsi d'un tableau de bord lui présentant automatiquement les opportunités de contact qualifiées au sein de son graphe social. Bénéfice supplémentaire, une relation initiée à l'occasion d'une date importante de la vie a toutes les chances d'être durable.
Le domaine est encore émergent et il ne fait aucun doute que de nouvelles approches pour "exploiter" le potentiel des réseaux sociaux vont continuer à se développer. Socialware est l'un des premiers à s'aventurer hors des sentiers battus. La startup proposait jusqu'à maintenant une plate-forme dédiée aux institutions financières, leur permettant d'ouvrir la porte des médias sociaux à leurs employés, tout en assurant le respect de la réglementation en vigueur (enregistrement et traçabilité des échanges) et des politiques internes (contrôle a priori des messages publiés).
Cette offre, directement positionnée sur l'axe "engagement des internautes", s'enrichit maintenant d'une nouvelle dimension d'"écoute", dont l'objectif est de capitaliser sur les relations de l'utilisateur (et non sur la totalité du web social, comme c'est le cas dans le suivi de réputation). Concrètement, en analysant les conversations des contacts du conseiller, le système va pouvoir automatiquement émettre des alertes lorsque son réseau bruisse des échos d'un mariage, d'une naissance à venir, d'un changement d'emploi...
Or, ces évènements majeurs sont souvent aussi l'occasion d'une évolution dans le portefeuille financier des personnes concernées, par exemple la réalloacation des priorités du patrimoine, la souscription d'une assurance vie ou l'ouverture d'un plan pour la retraite... Le conseiller disposera ainsi d'un tableau de bord lui présentant automatiquement les opportunités de contact qualifiées au sein de son graphe social. Bénéfice supplémentaire, une relation initiée à l'occasion d'une date importante de la vie a toutes les chances d'être durable.
Les "mécanismes" sociaux mis en œuvre par Socialware ne sont pas nouveaux, puisqu'ils correspondent peu ou prou aux pratiques habituelles de générations de conseillers, qui établissent, dans le monde réel, une relation (un peu) personnelle avec leurs clients et en "jouent" dans leur rôle professionnel.
La transposition de ce modèle sur les réseaux sociaux en ligne ne va cependant pas sans risques, d'abord de maladresses, car les relations virtuelles sont plus délicates à gérer que les rencontres en face à face, et aussi celui de susciter des réactions virulentes à l'automatisation sous-jacente, qui pourrait être perçue comme une violation de la vie privée. Comme toujours avec ce qui touche aux médias sociaux, il faudra avancer avec prudence dans l'utilisation de solutions telles que celle de Socialware.
Il est vrai que le danger est encore lointain pour la plupart des institutions financières, qui n'osent toujours pas laisser leurs collaborateurs (conseillers, agents...) dialoguer avec leurs clients et prospects sur Facebook ou Twitter... Mais, à celles-là, l'exemple qu'offrent Socialware et les 125 clients de ses produits pourrait ouvrir les yeux !
La transposition de ce modèle sur les réseaux sociaux en ligne ne va cependant pas sans risques, d'abord de maladresses, car les relations virtuelles sont plus délicates à gérer que les rencontres en face à face, et aussi celui de susciter des réactions virulentes à l'automatisation sous-jacente, qui pourrait être perçue comme une violation de la vie privée. Comme toujours avec ce qui touche aux médias sociaux, il faudra avancer avec prudence dans l'utilisation de solutions telles que celle de Socialware.
Il est vrai que le danger est encore lointain pour la plupart des institutions financières, qui n'osent toujours pas laisser leurs collaborateurs (conseillers, agents...) dialoguer avec leurs clients et prospects sur Facebook ou Twitter... Mais, à celles-là, l'exemple qu'offrent Socialware et les 125 clients de ses produits pourrait ouvrir les yeux !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Afin de lutter contre le spam, les commentaires ne sont ouverts qu'aux personnes identifiées et sont soumis à modération (je suis sincèrement désolé pour le désagrément causé…)