Après la vague des « agences du futur », Fidelity, un des leaders mondiaux des services d'investissement, nous en propose aujourd'hui une intéressante adaptation pour son secteur d'activité : le « bureau du futur » pour le conseiller financier, destiné à sa clientèle professionnelle de courtiers et autres intermédiaires.
Existant principalement sous la forme d'une installation physique, mais accessible aussi en démonstration virtuelle, ce « Centre de Technologie Appliquée » (FCAT) a pour objectif de sensibiliser les conseillers aux opportunités que leur ouvrent les outils informatiques en vogue. En effet, ils sont très nombreux à estimer indispensable une modernisation numérique et à vouloir la mettre en œuvre, mais presque tous reconnaissent avoir des difficultés à l'intégrer dans leurs pratiques.
Face à ces hésitations, les nouvelles générations de clients (X et Y, soit les moins de 48 ans) réclament plus de flexibilité dans la relation, en mettant à profit les technologies qui font désormais partie de leur vie. Ils en attendent en particulier 3 bénéfices principaux : un complément à la communication en face à face, une collaboration plus équilibrée (dans laquelle ce sont eux qui décident) et une plus grande disponibilité. Au total, plus d'un tiers des investisseurs, selon une enquête de Fidelity, se déclarent prêts à changer de conseil si leurs attentes en la matière ne sont pas satisfaites.
Existant principalement sous la forme d'une installation physique, mais accessible aussi en démonstration virtuelle, ce « Centre de Technologie Appliquée » (FCAT) a pour objectif de sensibiliser les conseillers aux opportunités que leur ouvrent les outils informatiques en vogue. En effet, ils sont très nombreux à estimer indispensable une modernisation numérique et à vouloir la mettre en œuvre, mais presque tous reconnaissent avoir des difficultés à l'intégrer dans leurs pratiques.
Face à ces hésitations, les nouvelles générations de clients (X et Y, soit les moins de 48 ans) réclament plus de flexibilité dans la relation, en mettant à profit les technologies qui font désormais partie de leur vie. Ils en attendent en particulier 3 bénéfices principaux : un complément à la communication en face à face, une collaboration plus équilibrée (dans laquelle ce sont eux qui décident) et une plus grande disponibilité. Au total, plus d'un tiers des investisseurs, selon une enquête de Fidelity, se déclarent prêts à changer de conseil si leurs attentes en la matière ne sont pas satisfaites.
Pour aider ses partenaires dans leur transition numérique, Fidelity leur offre, à travers le FCAT, une mise en situation concrète. Au sein de 4 espaces différents – un bureau dédié à la communication à distance, un autre focalisé sur la collaboration, un salon d'aéroport et un environnement de domicile – sont ainsi présentées et mises en scène 7 tendances actuelles, qui pourront évoluer au fil du temps : le mobile, la vidéo, les nouvelles interfaces, le « cloud computing », les médias sociaux, les « big data » et la ludification.
Cette liste peut sembler hétéroclite, elle répond pourtant aux besoins réels des conseillers dans l'exercice de leur activité, de la communication via les médias sociaux à l'utilisation des outils de partage de documents dans le « cloud », en passant par la collaboration autour d'un tableau de bord présenté sur une tablette tactile ou encore la production et la diffusion de webinaires… Bien sût, quelques technologies (par exemple les lunettes connectées) sont un peu plus futuristes mais leur généralisation, probablement plus proche qu'on ne le croit, mérite d'être anticipée.
Si les conseillers financiers ont cru un temps pouvoir échapper à la révolution numérique, leurs clients les ramènent maintenant à la réalité. L'initiative de Fidelity devrait leur permettre, dans une certaine mesure, de procéder à un rattrapage accéléré, indispensable pour leur avenir professionnel. Dans ce sens, la création d'un « bureau du futur » paraît bien plus pertinente que nombre d'« agences du futur », qui devraient peut-être – dans la même logique – cibler plutôt la formation des conseillers que les clients…
Cette liste peut sembler hétéroclite, elle répond pourtant aux besoins réels des conseillers dans l'exercice de leur activité, de la communication via les médias sociaux à l'utilisation des outils de partage de documents dans le « cloud », en passant par la collaboration autour d'un tableau de bord présenté sur une tablette tactile ou encore la production et la diffusion de webinaires… Bien sût, quelques technologies (par exemple les lunettes connectées) sont un peu plus futuristes mais leur généralisation, probablement plus proche qu'on ne le croit, mérite d'être anticipée.
Si les conseillers financiers ont cru un temps pouvoir échapper à la révolution numérique, leurs clients les ramènent maintenant à la réalité. L'initiative de Fidelity devrait leur permettre, dans une certaine mesure, de procéder à un rattrapage accéléré, indispensable pour leur avenir professionnel. Dans ce sens, la création d'un « bureau du futur » paraît bien plus pertinente que nombre d'« agences du futur », qui devraient peut-être – dans la même logique – cibler plutôt la formation des conseillers que les clients…
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