Ce pourrait n'être qu'une enquête de plus sur les « digital natives » et leurs outils mobiles. Pourtant, le sondage que vient de réaliser BMO Banque de Montréal apporte un intéressant éclairage sur l'évolution de la relation des jeunes à l'argent et aux services financiers, induite par leurs nouveaux comportements.
L'étude confirme tout d'abord l'ampleur du phénomène mobile. Parmi ceux que la banque canadienne nomme les echo-boomers, c'est-à-dire la génération née entre 1981 et 2001, deux tiers de ceux qui sont équipés d'un appareil (smartphone ou tablette) s'en déclarent fortement dépendants. Ils consacrent en moyenne presque 80 heures par mois à son utilisation, soit plus qu'à la télévision, et 2 sur 3 y ont installé une application financière, ce qui fait de l'argent une catégorie plus populaire que l'actualité, le sport ou la santé et le bien-être.
Plus important, leurs usages ne se limitent pas à un accès simple et rapide aux opérations courantes. En effet, les jeunes canadiens (comme leurs homologues d'autres pays, selon toute vraisemblance) profitent également de ces outils mobiles pour mieux suivre et gérer leurs finances personnelles. Par exemple, plus de 6 sur 10 (63%) consultent au moins une fois par semaine le solde de leur compte et plus de la moitié d'entre eux (56%) contrôlent les transactions enregistrées.
Forts de cette pratique régulière, ils affirment sans ambiguïté en tirer des bénéfices concrets pour l'équilibre de leur budget. Ainsi, près de 90% des personnes interrogées considèrent qu'elles administrent mieux leur argent depuis qu'elles utilisent une application bancaire, notamment en étant capable de connaître à tout moment la situation de leurs comptes, et elles sont quasiment autant (85%) à estimer qu'elles maîtrisent plus efficacement leurs dépenses.
S'il faut en croire leurs réponses, les effets positifs induits se ressentiraient même directement sur leurs comportements avec, par exemple, des découverts moins fréquents (pour 74%), des règlements en temps et en heure des factures plus réguliers (pour 82% des sondés)… Qui l'eût cru ? Les applications bancaires mobiles se révèlent donc être aussi des composantes importantes de l'éducation budgétaire des jeunes et des outils de lutte apparemment efficaces contre la délinquance financière !
L'étude confirme tout d'abord l'ampleur du phénomène mobile. Parmi ceux que la banque canadienne nomme les echo-boomers, c'est-à-dire la génération née entre 1981 et 2001, deux tiers de ceux qui sont équipés d'un appareil (smartphone ou tablette) s'en déclarent fortement dépendants. Ils consacrent en moyenne presque 80 heures par mois à son utilisation, soit plus qu'à la télévision, et 2 sur 3 y ont installé une application financière, ce qui fait de l'argent une catégorie plus populaire que l'actualité, le sport ou la santé et le bien-être.
Plus important, leurs usages ne se limitent pas à un accès simple et rapide aux opérations courantes. En effet, les jeunes canadiens (comme leurs homologues d'autres pays, selon toute vraisemblance) profitent également de ces outils mobiles pour mieux suivre et gérer leurs finances personnelles. Par exemple, plus de 6 sur 10 (63%) consultent au moins une fois par semaine le solde de leur compte et plus de la moitié d'entre eux (56%) contrôlent les transactions enregistrées.
Forts de cette pratique régulière, ils affirment sans ambiguïté en tirer des bénéfices concrets pour l'équilibre de leur budget. Ainsi, près de 90% des personnes interrogées considèrent qu'elles administrent mieux leur argent depuis qu'elles utilisent une application bancaire, notamment en étant capable de connaître à tout moment la situation de leurs comptes, et elles sont quasiment autant (85%) à estimer qu'elles maîtrisent plus efficacement leurs dépenses.
S'il faut en croire leurs réponses, les effets positifs induits se ressentiraient même directement sur leurs comportements avec, par exemple, des découverts moins fréquents (pour 74%), des règlements en temps et en heure des factures plus réguliers (pour 82% des sondés)… Qui l'eût cru ? Les applications bancaires mobiles se révèlent donc être aussi des composantes importantes de l'éducation budgétaire des jeunes et des outils de lutte apparemment efficaces contre la délinquance financière !
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