Peut-être parce que ce vendredi 13 novembre devait être la journée de la gentillesse et non se terminer par une soirée de la barbarie, je vous présente aujourd'hui One Cash, une petite application permettant de marquer (financièrement) sa gratitude à quiconque possède un compte Twitter, de manière très simple et (légèrement) ludique.
Réservé aux porteurs américains de cartes de débit ou de crédit, le service n'est donc pas destiné – contrairement à une multitude de solutions similaires – à faciliter les échanges d'argent entre proches. L'objectif de One Cash est plutôt d'offrir un moyen de rétribuer, de manière plus ou moins symbolique, les créateurs de contenus non commerciaux, qu'il s'agisse de producteurs de vidéos en tout genre (de YouTube à Vine), de photographes partageant leurs œuvres, d'auteurs publiant leurs textes sur le web…
En pratique, les bienfaiteurs en puissance s'inscrivent dans l'application via leur compte Twitter, après quoi il ne leur reste qu'à fournir les informations de leur carte bancaire. Dès lors, quelques gestes suffisent pour envoyer un peu d'argent à une personne, connue ou inconnue, sans aucun frais (pour l'instant ?) : saisie de son identifiant Twitter et d'un court message d'accompagnement, suivi d'un (ou plusieurs) « swipe(s) » sur l'écran, chacun correspondant à un transfert d'un dollar.
Réservé aux porteurs américains de cartes de débit ou de crédit, le service n'est donc pas destiné – contrairement à une multitude de solutions similaires – à faciliter les échanges d'argent entre proches. L'objectif de One Cash est plutôt d'offrir un moyen de rétribuer, de manière plus ou moins symbolique, les créateurs de contenus non commerciaux, qu'il s'agisse de producteurs de vidéos en tout genre (de YouTube à Vine), de photographes partageant leurs œuvres, d'auteurs publiant leurs textes sur le web…
En pratique, les bienfaiteurs en puissance s'inscrivent dans l'application via leur compte Twitter, après quoi il ne leur reste qu'à fournir les informations de leur carte bancaire. Dès lors, quelques gestes suffisent pour envoyer un peu d'argent à une personne, connue ou inconnue, sans aucun frais (pour l'instant ?) : saisie de son identifiant Twitter et d'un court message d'accompagnement, suivi d'un (ou plusieurs) « swipe(s) » sur l'écran, chacun correspondant à un transfert d'un dollar.
Si le destinataire n'est pas encore enregistré sur la plate-forme, il reçoit un tweet de notification et les instructions d'installation de l'application. Cette dernière lui permet de répondre à ses donateurs (avec un selfie de remerciement), de suivre la situation de son compte et d'encaisser ses gains, à tout moment. Par ailleurs, les bénéficiaires ont également à leur disposition une option de création d'une page de profil personnalisée, grâce à laquelle ils vont pouvoir solliciter les contributions de leurs fans.
En dehors de son positionnement spécifique et de son expérience utilisateur simplifiée à l'extrême (il n'est même pas prévu une confirmation du paiement), l'approche de One Cash présente une autre particularité notable. Car, en dépit de son exploitation de Twitter afin d'identifier les internautes, la startup adopte un fonctionnement plus proche des outils de messagerie instantanée – très en vogue actuellement, comme l'illustre le succès de WhatsApp – embarqué dans une application dédiée.
Au-delà de l'effet de mode qui l'influence, ce choix prolonge aussi un mouvement perceptible de désaffection vis-à-vis des tentatives de déployer des outils de paiement directement au cœur du réseau social. Les différentes expérimentations en la matière n'ayant visiblement pas réussi à conquérir les consommateurs, il est certainement plus sage de changer de stratégie et envisager de nouveaux modèles…
En dehors de son positionnement spécifique et de son expérience utilisateur simplifiée à l'extrême (il n'est même pas prévu une confirmation du paiement), l'approche de One Cash présente une autre particularité notable. Car, en dépit de son exploitation de Twitter afin d'identifier les internautes, la startup adopte un fonctionnement plus proche des outils de messagerie instantanée – très en vogue actuellement, comme l'illustre le succès de WhatsApp – embarqué dans une application dédiée.
Au-delà de l'effet de mode qui l'influence, ce choix prolonge aussi un mouvement perceptible de désaffection vis-à-vis des tentatives de déployer des outils de paiement directement au cœur du réseau social. Les différentes expérimentations en la matière n'ayant visiblement pas réussi à conquérir les consommateurs, il est certainement plus sage de changer de stratégie et envisager de nouveaux modèles…
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