L'idée était dans l'air depuis plusieurs mois mais elle semblait jusqu'à maintenant difficile à concrétiser. Elle est désormais disponible sur les AppStores français : BirdyCent vous permet de mettre régulièrement quelques centimes de côté, en arrondissant (plus ou moins) automatiquement vos dépenses par carte à l'euro supérieur.
Le fonctionnement de la solution est extrêmement simple. Après installation de l'application sur son smartphone, l'utilisateur connecte ses comptes bancaires à son profil. Dès lors, pour chaque transaction enregistrée, quelques centimes – permettant d'atteindre un montant « rond » – sont versés sur un porte-monnaie virtuel. Selon ses concepteurs, il est ainsi possible d'épargner – presque sans y penser – 120 à 150 euros par an (je dois être peu dépensier car, après vérification sur mon cas, je ne dépasse pas 80 euros).
En pratique, la décision de procéder à l'arrondi des dépenses est laissée à l'initiative du consommateur, de manière à renforcer l'engagement de ce dernier dans la démarche. Quelques options supplémentaires sont également disponibles, dont, en particulier, la possibilité de créer des « projets » – pour un objet convoité, un voyage… – auxquels les centimes accumulés vont pouvoir être affectés. Un partenariat avec microDON offre même la possibilité de verser tout ou partie de l'épargne à des associations.
Les téléphones mobiles ne sont pas les seuls supports visés par BirdyCent. Entre autres extensions, grâce à un partenariat avec le fabricant Ingenico, la solution se trouve intégrée dans certains terminaux de paiement de la marque, prête à séduire et conquérir les commerçants qui voudront bien la mettre en œuvre. L'objectif est alors de prélever l'arrondi et le verser sur le compte d'épargne au moment de l'achat, ce qui simplifierait la gestion des transferts et rendrait le processus plus transparent.
Le fonctionnement de la solution est extrêmement simple. Après installation de l'application sur son smartphone, l'utilisateur connecte ses comptes bancaires à son profil. Dès lors, pour chaque transaction enregistrée, quelques centimes – permettant d'atteindre un montant « rond » – sont versés sur un porte-monnaie virtuel. Selon ses concepteurs, il est ainsi possible d'épargner – presque sans y penser – 120 à 150 euros par an (je dois être peu dépensier car, après vérification sur mon cas, je ne dépasse pas 80 euros).
En pratique, la décision de procéder à l'arrondi des dépenses est laissée à l'initiative du consommateur, de manière à renforcer l'engagement de ce dernier dans la démarche. Quelques options supplémentaires sont également disponibles, dont, en particulier, la possibilité de créer des « projets » – pour un objet convoité, un voyage… – auxquels les centimes accumulés vont pouvoir être affectés. Un partenariat avec microDON offre même la possibilité de verser tout ou partie de l'épargne à des associations.
Les téléphones mobiles ne sont pas les seuls supports visés par BirdyCent. Entre autres extensions, grâce à un partenariat avec le fabricant Ingenico, la solution se trouve intégrée dans certains terminaux de paiement de la marque, prête à séduire et conquérir les commerçants qui voudront bien la mettre en œuvre. L'objectif est alors de prélever l'arrondi et le verser sur le compte d'épargne au moment de l'achat, ce qui simplifierait la gestion des transferts et rendrait le processus plus transparent.
Au-delà de son application, la stratégie de la startup est également digne d'intérêt. En effet, si la collaboration avec MangoPay (aujourd'hui passée dans le giron du Crédit Mutuel Arkéa) pour la gestion des porte-monnaie virtuels n'est pas une surprise, elle se distingue surtout en étant une des premières à exploiter les API de Linxo. Celles-ci lui procurent un accès universel (et sécurisé) aux comptes des consommateurs dans plus de 140 banques. L'agrégateur devient de la sorte la clé de nouveaux services !
Et voilà que se dessine (enfin !) une voie d'avenir pour les outils de PFM, qui peinent toujours à fidéliser leurs utilisateurs avec la seule gestion de budget. En élargissant la perspective, leur destination naturelle est probablement de se transformer en véritables plates-formes de finances personnelles, intégrant une palette d'offres variées, assemblées à la demande. Or, ce faisant, elles deviendront plus menaçantes pour les banques, qui se voient peu à peu désintermédiées et moins « visibles »…
Et voilà que se dessine (enfin !) une voie d'avenir pour les outils de PFM, qui peinent toujours à fidéliser leurs utilisateurs avec la seule gestion de budget. En élargissant la perspective, leur destination naturelle est probablement de se transformer en véritables plates-formes de finances personnelles, intégrant une palette d'offres variées, assemblées à la demande. Or, ce faisant, elles deviendront plus menaçantes pour les banques, qui se voient peu à peu désintermédiées et moins « visibles »…
Bonjour, en effet, cette fonctionnalité est très intéressante, et orientée "clients" : simple et avantageuse. Nous la proposons chez monabanq. depuis un moment déjà.
RépondreSupprimerBonjour . Petite question . Ou vont mes coordonnées bancaires ??
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