S'il fallait encore un exemple de mise en œuvre d'API ouvertes pour en démontrer l'utilité dans la vie quotidienne, voici le cas (britannique) de Goodlord, une plate-forme de gestion des processus de location de propriété immobilière, qui s'appuie sur les interfaces de TrueLayer pour valider les références financières des chercheurs de logement.
Les usages immédiats des données bancaires – que rend désormais facilement accessible la réglementation – dans le cadre de la location d'un appartement ou d'une maison sont évidents. En premier lieu, Goodlord propose aux demandeurs une évaluation de leur capacité de paiement de loyer, en fonction, notamment, de leurs revenus et des ratios couramment pratiqués. Par la suite, au moment de signer le bail, les mêmes informations permettent de garantir au propriétaire la « solvabilité » de son locataire.
Pour les consommateurs dont l'établissement principal fait partie des banques que couvre TrueLayer à ce jour (représentant environ 90% de la population de Grande-Bretagne), le dispositif permet d'accélérer le processus de contrôle d'éligibilité. En accordant un accès aux données de leur compte, il obtiennent une réponse quasiment instantanée, au lieu des quelques jours que prennent parfois les agents professionnels. Pour les bailleurs, il offre en outre une fiabilité à (presque) toute épreuve, face aux risques de documents falsifiés et autres tentatives de fraudes qu'ils rencontrent régulièrement.
Les usages immédiats des données bancaires – que rend désormais facilement accessible la réglementation – dans le cadre de la location d'un appartement ou d'une maison sont évidents. En premier lieu, Goodlord propose aux demandeurs une évaluation de leur capacité de paiement de loyer, en fonction, notamment, de leurs revenus et des ratios couramment pratiqués. Par la suite, au moment de signer le bail, les mêmes informations permettent de garantir au propriétaire la « solvabilité » de son locataire.
Pour les consommateurs dont l'établissement principal fait partie des banques que couvre TrueLayer à ce jour (représentant environ 90% de la population de Grande-Bretagne), le dispositif permet d'accélérer le processus de contrôle d'éligibilité. En accordant un accès aux données de leur compte, il obtiennent une réponse quasiment instantanée, au lieu des quelques jours que prennent parfois les agents professionnels. Pour les bailleurs, il offre en outre une fiabilité à (presque) toute épreuve, face aux risques de documents falsifiés et autres tentatives de fraudes qu'ils rencontrent régulièrement.
Plus généralement, la location immobilière constitue une de ces activités qui se prêtent à l'intégration de multiples services. Goodlord peut ainsi inclure dans ses prestations la gestion des contrats (avec signature électronique), la prise en compte des exigences de conformité réglementaire, une assistance à l'emménagement, l'émission des quittances… et, dans le registre financier, les dépôts de garantie, l'assurance habitation… Comme dans d'autres moments importants de l'existence, les utilisateurs réclament en effet une expérience fluide, sans ruptures et transparente, jusqu'à leur installation.
Dans ce cadre, la vérification des références de revenus n'est qu'une première étape pour la plate-forme de Goodlord. Il est par exemple aisé d'imaginer une connexion directe avec les comptes bancaires des utilisateurs pour une mise en place du règlement des loyers sans efforts supplémentaires (TrueLayer fournissant aussi une API pour les paiements, selon les termes de la DSP2). À l'extrême, la location pourrait de la sorte devenir un domaine dans lequel les services financiers sont enfouis (et rendus invisibles) au sein d'un parcours client enrichi, autant pour les locataires que pour les bailleurs.
Dans ce cadre, la vérification des références de revenus n'est qu'une première étape pour la plate-forme de Goodlord. Il est par exemple aisé d'imaginer une connexion directe avec les comptes bancaires des utilisateurs pour une mise en place du règlement des loyers sans efforts supplémentaires (TrueLayer fournissant aussi une API pour les paiements, selon les termes de la DSP2). À l'extrême, la location pourrait de la sorte devenir un domaine dans lequel les services financiers sont enfouis (et rendus invisibles) au sein d'un parcours client enrichi, autant pour les locataires que pour les bailleurs.
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