Premier indicateur de succès, l'événement a réuni pendant 24 heures plus d'une centaine de participants, pour 40 propositions de réalisations. Et la qualité de celles-ci a tellement convaincu le jury qu'il a été décidé de récompenser 6 applications, au lieu des 5 initialement prévues :
- Un système de paiement sans contact (NFC), intégrant des interactions avec les réseaux sociaux ;
- Une expérimentation d'interprétation musicale des graphiques de cours de valeurs boursières ;
- Une application de création de listes de "désirs", connectées à la banque en ligne ;
- Un jeu éducatif pour apprendre la gestion de compte aux enfants, à partir des conseils de leurs parents ;
- Un outil de partage d'addition (ou d'autres dépenses), utilisable aussi bien par les consommateurs que par des commerçants ;
- Une solution de localisation d'appartement à vendre ou à louer.
Au risque de passer pour trop exigeant, je dois avouer être globalement déçu des résultats, qui ne me semblent pas à la hauteur des "modèles" des hackathons (tels que ceux de TechCrunch). En effet, ce sont ici essentiellement des idées existantes qui sont reprises et auxquelles ne sont apportées que de petites améliorations, sans grande inventivité. Il serait intéressant d'analyser plus en détail ce qui a pu conduire à ce conventionnalisme un peu surprenant. Peut-être le manque de préparation est-il en cause (l'annonce du concours m'a paru tardive) ?
Sans surprise, La Caixa ne semble pas envisager une utilisation directe des applications réalisées mais elle se déclare pourtant satisfaite de la FinAppsParty et confirme son intention d'en ré-éditer l'expérience, en faisant aussi appel, cette fois, aux développeurs internationaux et non plus seulement espagnols.
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