Les cartes bancaires prépayées sont déjà largement utilisées par les voyageurs, qui apprécient la sécurité et la commodité qu'elles peuvent leur apporter. Alors, lorsque NAB enrichit le concept et y intègre des services qui en font une offre dédiée, sa « Traveller Card » devient irrésistible pour qui se déplace régulièrement à l'étranger.
La première caractéristique de cette carte « universelle » est de pouvoir être utilisée dans 10 devises différentes (locales – dollar australien, singapourien, baht thaïlandais… – et plus lointaines – dollar américain, livre sterling, euro…). Comme dans les autres exemples du même genre (puisque cette faculté n'est pas exclusive), l'utilisateur choisit d'approvisionner la carte dans la ou les devise(s) de son choix, ce qui lui permet alors de régler ses achats dans son pays de destination, sans frais de change supplémentaires.
Dans une approche beaucoup plus originale, la banque australienne intègre les options de gestion de la « Traveller Card » directement au sein de ses services en ligne existants, en sus du traditionnel site web spécifique. Après enregistrement de leur carte, ses clients ont donc accès, depuis leur espace bancaire habituel, au suivi des soldes et des transactions, ainsi qu'aux rechargements et autres transferts, entre devises ou depuis/vers le compte courant associé.
L'utilisation de la carte prépayée s'en trouve ainsi grandement facilitée – et accélérée (les opérations étant instantanées) – par rapport aux échanges « BPAY » (sorte de virement bancaire) qui étaient seuls possibles auparavant. Loin de constituer un détail, les utilisateurs sont visiblement séduits par cette simplification : depuis que l'intégration à été mise en place (en juin dernier), NAB constate une augmentation de 30% des réapprovisionnements effectués en cours de déplacement.
Au milieu d'une initiative (apparemment) aussi réussie, une lacune béante semble pourtant subsister. En effet, alors que la banque insiste dans sa communication sur le développement des usages mobiles parmi ses clients, en particulier lorsqu'ils sont en voyage, et bien que (naturellement) ses services sur le web soient utilisables sur tous les écrans, pourquoi les options de gestion de la « Traveller Card » ne sont-elles donc pas aussi intégrées à son application pour smartphones et tablettes ?
Hormis cette étrange omission, NAB réalise ici une brillante démonstration d'un service innovant, qui esquisse probablement une tendance appelée à prendre de l'ampleur : il ne fait désormais plus de doute que les solutions bancaires de demain seront hautement spécialisées, correspondant chacune à des besoins et des contextes différents, de plus en plus précis et étroits, jusqu'à une capacité ultime, un jour (peut-être), à fournir des réponses individuelles aux attentes de chaque client.
La première caractéristique de cette carte « universelle » est de pouvoir être utilisée dans 10 devises différentes (locales – dollar australien, singapourien, baht thaïlandais… – et plus lointaines – dollar américain, livre sterling, euro…). Comme dans les autres exemples du même genre (puisque cette faculté n'est pas exclusive), l'utilisateur choisit d'approvisionner la carte dans la ou les devise(s) de son choix, ce qui lui permet alors de régler ses achats dans son pays de destination, sans frais de change supplémentaires.
Dans une approche beaucoup plus originale, la banque australienne intègre les options de gestion de la « Traveller Card » directement au sein de ses services en ligne existants, en sus du traditionnel site web spécifique. Après enregistrement de leur carte, ses clients ont donc accès, depuis leur espace bancaire habituel, au suivi des soldes et des transactions, ainsi qu'aux rechargements et autres transferts, entre devises ou depuis/vers le compte courant associé.
L'utilisation de la carte prépayée s'en trouve ainsi grandement facilitée – et accélérée (les opérations étant instantanées) – par rapport aux échanges « BPAY » (sorte de virement bancaire) qui étaient seuls possibles auparavant. Loin de constituer un détail, les utilisateurs sont visiblement séduits par cette simplification : depuis que l'intégration à été mise en place (en juin dernier), NAB constate une augmentation de 30% des réapprovisionnements effectués en cours de déplacement.
Au milieu d'une initiative (apparemment) aussi réussie, une lacune béante semble pourtant subsister. En effet, alors que la banque insiste dans sa communication sur le développement des usages mobiles parmi ses clients, en particulier lorsqu'ils sont en voyage, et bien que (naturellement) ses services sur le web soient utilisables sur tous les écrans, pourquoi les options de gestion de la « Traveller Card » ne sont-elles donc pas aussi intégrées à son application pour smartphones et tablettes ?
Hormis cette étrange omission, NAB réalise ici une brillante démonstration d'un service innovant, qui esquisse probablement une tendance appelée à prendre de l'ampleur : il ne fait désormais plus de doute que les solutions bancaires de demain seront hautement spécialisées, correspondant chacune à des besoins et des contextes différents, de plus en plus précis et étroits, jusqu'à une capacité ultime, un jour (peut-être), à fournir des réponses individuelles aux attentes de chaque client.
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