Quelques morceaux choisis pour vous inciter à en lire l'intégralité :
- Avec le cloud computing, CBA veut se dégager de la gestion des infrastructures et pouvoir ainsi mieux se consacrer à offrir les services que les clients de la banque attendent.
- CBA a conçu et développé un système de "database as a service" (sur un socle Oracle), qu'elle est prête à partager avec d'autres entreprises.
- La banque a mis en oeuvre une "capacité de machine virtuelle" pour des serveurs de moyenne gamme, utilisée en interne et en externe (avec Savvis et Amazon) pour le développement et le test d'applications. Ces machines virtuelles sont provisionnées en quelques minutes et peuvent s'adapter à la charge en quasi temps réel.
- L'utilisation du cloud est limitée actuellement aux développements et tests mais quand on sait que ces activités peuvent représenter jusqu'à 40% de la puissance informatique de la banque, l'intérêt est évident, même si tous les projets ne sont pas candidats au cloud.
- Concernant les risques et les craintes souvent évoqués avec le cloud computing, Michael Harte a une approche pragmatique : un des savoir-faire d'une banque est la gestion des risques et il s'applique parfaitement à cette problématique. La sécurité, la localisation des données, la portabilité... sont autant de facteurs à prendre en compte dans une évaluation objective des risques et, le cas échéant, peuvent conduire, par exemple, à prendre des précautions spécifiques (telles que des couches de sécurité additionnelles).
Lecture fortement recommandée !
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