Parce que la gestion des finances personnelle est un tout indissociable, Pretto intègre désormais dans son parcours d'emprunteur les offres d'investissement de Yomoni, autorisant de la sorte ses utilisateurs à préparer leur projet immobilier, de manière transparente, avant même d'être en position de souscrire un crédit.
Bien sûr, le besoin se fait d'autant plus ressentir dans la période actuelle où les difficultés croissantes d'accès aux financements combinées aux prix élevés des logements éloigne la perspective de devenir propriétaire pour beaucoup de ménages, en France comme ailleurs dans le monde. Au lieu de les abandonner et les laisser se décourager, Pretto choisit donc de les embarquer dans un parcours, certes plus sinueux et plus long, mais qui leur permettra malgré tout d'atteindre leurs objectifs… un jour.
Concrètement, aux visiteurs du spécialiste du prêt immobilier qui, lors d'une simulation de leur acquisition rêvée, aboutissent à une impasse, l'outil propose directement, sans quitter le site, les produits d'épargne de la plate-forme d'investissement, dont, en priorité, les mieux adaptés à leur contexte (notamment dans le registre de la minimisation des risques), dans l'optique de les aider à renforcer leur apport personnel et leur donner toutes les chances de décrocher, à terme, un crédit à des conditions optimales.
Je ne suis pas certain que l'implémentation aille aussi loin mais, idéalement, le service devrait se transformer en un accompagnement dans la durée. En partant des attentes exprimées lors de l'évaluation initiale, il est possible d'estimer le montant de réserve nécessaire pour que le projet devienne réaliste. Dès lors, il serait intéressant d'assurer un suivi de l'évolution de l'épargne (peut-être assorti d'une prise en compte des tendances du marché immobilier), de manière à matérialiser le rapprochement de l'échéance, ne serait-ce que comme une incitation à poursuivre les efforts.
Il fut une époque, lointaine, dans laquelle l'individu qui envisageait d'acheter une première résidence se rendait dans son agence bancaire, où son conseiller analysait sa situation et était en mesure de lui recommander de telles stratégies personnalisées. Mais, aujourd'hui, même si les professionnels ont les compétences requises pour ce genre d'exercice (ce qui resterait à vérifier, je le crains), les changements de comportement apportés par la révolution numérique rendent l'approche caduque.
En effet, la méthode « normale » qu'adoptent désormais une grande partie (la majorité ?) des consommateurs afin d'explorer leur capacité à devenir propriétaire consiste à réaliser une simulation en ligne (auprès de leur banque ou ailleurs) et si celle-ci leur fournit une réponse négative, la probabilité est grande qu'ils s'en tiennent là, quels que soient les éventuels messages invitant à échanger avec un représentant en vue d'affiner l'étude. Le meilleur moyen de ne pas perdre le contact et, potentiellement, d'embrayer sur une autre opportunité, est évidemment de présenter celle-ci dans la foulée !
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