Un message nous l'annonçait ce matin sur le site de Wesabe : la plate-forme pionnière du PFM (« Personal Finance Management » ou « Gestion de Finances Personnelles ») va fermer à la fin juillet, pour cause de finances désastreuses.
Lors de son lancement, Wesabe était non seulement une des premières solutions de PFM mais également une des plus innovantes, notamment en introduisant une dimension de « réseau social » dans la gestion des finances personnelles, facilitant les partages d'expériences entre ses membres.
Malheureusement, les responsables de la startup ont eu tendance à négliger certaines réalités économiques et l'absence de modèle de rentabilité viable a conduit à cette fermeture.
Il ne s'agit pourtant pas d'un signe d'échec pour le PFM en général et le développement de Mint.com vient nous rappeler que la gestion de finances personnelles est un marché plein d'avenir. Le concurrent historique de Wesabe est désormais n°1 sur le marché (américain) et, après son acquisition par Intuit, reste sur une pente ascendante.
Malgré les succès enregistrés outre Atlantique, par les fournisseurs indépendants comme par les établissements financiers, les banques françaises restent frileuses et on attend toujours la première offre de PFM « sérieuse » dans l'hexagone…
Lors de son lancement, Wesabe était non seulement une des premières solutions de PFM mais également une des plus innovantes, notamment en introduisant une dimension de « réseau social » dans la gestion des finances personnelles, facilitant les partages d'expériences entre ses membres.
Malheureusement, les responsables de la startup ont eu tendance à négliger certaines réalités économiques et l'absence de modèle de rentabilité viable a conduit à cette fermeture.
Il ne s'agit pourtant pas d'un signe d'échec pour le PFM en général et le développement de Mint.com vient nous rappeler que la gestion de finances personnelles est un marché plein d'avenir. Le concurrent historique de Wesabe est désormais n°1 sur le marché (américain) et, après son acquisition par Intuit, reste sur une pente ascendante.
Malgré les succès enregistrés outre Atlantique, par les fournisseurs indépendants comme par les établissements financiers, les banques françaises restent frileuses et on attend toujours la première offre de PFM « sérieuse » dans l'hexagone…
Vont-ils revendre leurs données utilisateurs (comptes bancaires et codes d'accès) pour rentrer dans leurs fonds ?
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